Martine Vassal candidate aux municipales à Marseille : “J’y réfléchis de plus en plus”

Du Grand Vassal. Comme en 2020. Qui fait feu de tout bois, qui ment, qui instrumentalise les drames pour en faire les siens, qui confond tout et qui ratisse au delà de la droite et du centre (et surement pas sur la gauche)

– les “écologistes raisonnables”, digne de la “Greta Thunberg de droite” vantée par Bruno Gilles. En d’autres termes : l’Arlésienne (celle de Daudet, qu’on ne voit jamais).
– “Une génération pour Marseille, qui a réalisé un questionnaire”, on sent l’habitude de la démocratie participative
-“Marseille a besoin d’expérience et d’un choc d’autorité” pour son expérience en magouille, elle a été à l’école de la Gaudinie, une des meilleures qui soit
– “On ne s’invente pas, comme ça, à la tête d’une institution aussi grande !” parole d’experte, qui n’a jamais réussi à s’imposer ni au département (qu’elle tient grâce aux guérinistes) ni à la Métropole (qu’elle tient par sa dextérité à faire des chèques)
– “Qui aurait laissé partir les Galeries Lafayette ? Et l’Open 13 ?” Rebsamen qui tacle Muselier à propos des Galeries Lafayette n’a donc pas suffit. Quant à l’Open 13 et ses comptes dans des paradis fiscaux, on ne va pas pleurer. Bref pour Martine la réussite se mesure à un concept dépassé de grand magasin et à un tournoi de 15e zone (c’est Open 13, pas Master Monte-Carlo, Wimbledon ou Roland Garros)
– “le programme du Printemps marseillais voulait faire de Marseille le premier port d’accueil des migrants” ce que fut Massalia dès sa fondation il y a 2600a, un détail. Elle n’aurait pas des, grands-parents arméniens arrivés dans un port de migrant cette chère Mme Vassal ?
– ““féminicide politique”, “téléguidé par l’extrême gauche” : “Je dois gêner”” : pour la gêne elle a raison, elle est très gênante, comme écrit Electeur du 8e, d’utiliser le terme féminicide qui recouvre une toute autre réalité (dont Mme Vassal n’a jamais eu conscience). Et puis bon, elle a perdu en 2020 à cause de l’extrême gauche, autant recommencer le même discours, on ne lâche pas un mauvais concept.
– “Ce sont des voyages de coopération (…), ils permettent d’assurer le rayonnement international du territoire” oh ben oui on voit bien que le territoire rayonne à l’international, ça saute aux yeux. D’autant que la première mission d’un département n’est pas l’international et que le principe du jumelage concerne les villes et non les métropoles. Et que les financements européens ne représentent pas grand chose dans les recettes du CD13 (qu’elle a mis en état de quasi faillite) ni dans celles d’AMP. Quel succès !

Prions pour qu’elle se prenne une balayette électorale dès le 1er tour.