Marseille n’a plus de maire, et maintenant ?
La démission de la maire de Marseille après moins de six mois de mandat place la ville dans une situation politique inédite. Le cas est toutefois fréquent dans des plus petites communes et le déroulé du processus est décrit précisément par la loi. Explications.
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à mettre en perspective avec un autre “empêchement ” dans l’histoire municipale de Marseille : en 1986 suit au décès de Gaston Defferre la nomination de Robert Vigouroux l’intérimaire qui fera une saison de plus …
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tout à fait;
a mettre aussi en perspective avec le maire du 6° secteur qui n’est pas celui élu par les électeurs. Pour la troisième fois.
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Bonjour,
plus précisément c’est le premier adjoint Jean-Victor Cordonnier qui avait assuré l’intérim pendant dix jours avant l’élection de Robert Vigouroux.
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Il y a une autre époque à mettre en perspective. C’est celle de Simon Sabiani.
En 1929, Le dissident socialiste, S. Flaissières, est réélu maire de Marseille. Sabiani devient le premier adjoint et « le maître du jeu politique marseillais ». Les socialistes sont battus.
Le véritable maire c’est Sabiani qui profite du prestige de S. Flaissières qui fête ses 78 ans.
Il est maire par intérim, en 1931, à la mort de Flaissières, décédé à l’âge de 80 ans.
En 1932, avec le soutien d’une partie de la droite locale, il est réélu aux élections législatives. Le maire suivant va conforter sa position d’homme qui tire les ficelles. Sabiani a 43 ans et désormais il fait la pluie et le beau temps sur la ville. Comme pour le maire précédent il devient le premier adjoint du maire « qu’il a fait élire et qui lui doit tout, le Dr Ribot. Un personnage falot qui lui permet de diriger de fait la mairie jusqu’en 1934, bien que le conseil municipal lui soit hostile. Il poursuit à ce poste sa politique clientéliste et se croit au-dessus des lois ».
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Lors des dernières élections régionales la droite LR a présenté Christian Estrosi comme tête de liste. Celui-ci a été élu président de la région et quelques temps après les électeurs ont eu la surprise de voir que Renaud Muselier devenait président de région à la place de Christian Estrosi.
De même dans le 6° secteur de Marseille lors du 2° tour de l’élection municipale de 2014 les électeurs ont élu Robert Assante et après une nuit de tractation dans le bureau de Jean-Claude Gaudin, c’est Valérie Boyer qui est ressortie maire de secteur.
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A quand un délit de recel de position électorale ? :))
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