Lorenzo et Bobby, destins croisés avant la fin du bidonville de la Parette
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Je me souviens bien de toi Bobby, bonne chance à toi et aux tiens
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Bel article. Merci.
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Très intéressant.
Ca laisse un peu sans voix (que dire ?), et une impression diffuse de honte et de gaspillage d’énergie.
Une grande déception que ne puissent être relogés ceux qui le souhaitent.
Envie aussi de souhaiter bonne chance à ceux qui vous reprendre l’errance…et la reconstruction de cabanes plus loin….
Pour ce qui concerne le quartier de la Parette, le terrain sera évidemment utilisé pour construire encore quelques immeubles de soi-disant standing……qui sur-endetteront quelques acquéreurs…
On vit dans un monde bizarre…..
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Bien triste pour ces pauvres gens… Les voisins vont quand même mieux respirer sans les feux brulants les plastiques.
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Précédemment, dans des commentaires, ceci :
(…)”mes grands parents venaient d’Espagne et ont toujours été reconnaissants envers leur pays d’accueil : qu’on soit d’ici ou d’ailleurs il y a des règles à respecter : ceux qui au fil des siècles et des vagues migratoires ont accepté ces règles et les ont transmises à leurs enfants sont les bienvenus ce sont eux qui font la richesse de notre pays. Ceux pour qui la France est une vache à lait commode et qui n’ont même pas la reconnaissance du ventre n’ont rien à faire chez nous.”
Et je me disais qu’écrire cela c’était faire insulte à ses parents et grands parents quand on se souvient de ce que veut dire “s’intégrer”.
Pour le moment, je n’ai pas encore lu sur cette page les franches affirmations qui peuvent fleurir quand l’occasion est favorable :
“On peut ne pas être “Français de souche” et ne pas supporter les excès des nouveaux arrivants et leur prétention à avoir tous les droits. (…)”Activités illégales”, “nuisances” “familles pas là pour s’insérer mais pour faire du business” ? Oust! Dehors! Et les associations qui les soutiennent (et dont on aimerait connaitre les motivations) peuvent les accompagner…”
Ou encore :
“Une chose est de faire des grandes déclarations humanistes, une autre choses de vivre au quotidien cette invasion et d’en supporter les conséquences (vols, dégradations, odeurs, agressions et,si on en croit La Provence de cette semaine, retour très attendu de la gale et de la teigne dans les écoles). Arrêtons de jouer les bons apôtres et voyons la réalité en face : la France ne peut plus absorber toute la misère du monde et les contribuables n’en peuvent plus de payer.”
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Merci Marsactu pour ce bel article !!
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Quand on ne peut pas nourrir ses enfants on en adopte pas d’autres,
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