L’évacuation des squats de Bougainville laisse des demandeurs d’asile à la rue
Mardi matin, deux squats abritant majoritairement des demandeurs d'asile d'origine nigériane ont été évacués par la police. Seules les personnes vulnérables ont été prises en charge. Les autres demandeurs d'asile ont été mis à la rue sans solution d'hébergement, contrairement à ce que prévoit le droit.
Des demandeurs d'asile nigérians restent devant leur ancien squat, avenue Moncada.
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Comme l’écrit Benoît Gille il s’agit bien d’une “mise à l’abri à l’ombre de la République”.
« Selon le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, intégré au bloc de constitutionnalité. Bloc de constitutionnalité … il comprend : les articles de la Constitution de 1958 mais aussi la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 et le Préambule de la constitution de 1946., “tout homme persécuté en raison de son action en faveur de la liberté a droit d’asile sur les territoires de la République”. Le droit d’asile a été consacré principe de valeur constitutionnelle par le Conseil constitutionnel dans sa décision du 13 août 1993. »
mais il y a les principes et il y a la réalité…
https://www.vie-publique.fr/focus/decrypter-actualite/droit-asile.html
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