À Saint-Victoret, la colère à forte dosimétrie des précaires du nucléaire

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le 29 Avr 2016
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Pendant deux semaines, la trentaine d'agents de maintenance de l'entreprise Weir de Saint-Victoret, spécialisée dans la conception et la fabrication des soupapes de sécurité pour l'industrie nucléaire, était en grève. La maintenance de sept centrales françaises était à l'arrêt. Une sortie de crise se dessine à présent, alors que les salariés reprennent le travail.

À Saint-Victoret, la colère à forte dosimétrie des précaires du nucléaire
À Saint-Victoret, la colère à forte dosimétrie des précaires du nucléaire

À Saint-Victoret, la colère à forte dosimétrie des précaires du nucléaire

Il a fallu deux semaines de grève aux “nomades du nucléaire” de Saint-Victoret pour enfin obtenir un début de sortie de crise. Ce terme peu connu désigne les agents de maintenance qui interviennent sur les soupapes de sécurité des 19 centrales françaises, et d’autres à l’étranger, notamment en Ukraine. Depuis le 18 avril, ils étaient en grève pour dénoncer leurs conditions de travail qu’ils jugent dégradées et ainsi tenter de faire plier Weir Power. Ce spécialiste écossais de la conception et fabrication de soupapes est coté à la bourse de Londres mais le siège français est situé à Saint-Victoret. Ce midi, c’est finalement de Glasgow qu’est parvenue une solution de sortie d’un conflit inédit à Weir. Après un long blocage de ...
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Commentaires

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  1. Mars1 Mars1

    Scandaleux que des métiers aussi dangereux et avec des responsabilités quand même non négligeables soient si peu rémunérés et toujours précaires!

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