Le Grand port de Marseille ouvre avec beaucoup d’emphase une petite porte sur la ville
Ce jeudi, le grand port de Marseille inaugurait son "port center". Situé dans le hall de l'ancienne gare maritime en face la major, ce lieu est censé être le symbole de l'ouverture du port sur la ville.
De gauche à droite : Renaud Muselier, Martine Vassal, avec la feuille en main, Christophe Castaner, Benoit Payan, tourné vers l'objectif. Photo : VA
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Un léger problème, une pecadille, une bricole.Les volumes traités sont en recul,le Port perd des parts de marché, les quais de la Joliette sont vides et les ferries font les moules l’hiver.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Et le clin d’œil de M.Castaner sur les visites organisées pour les élèves des quartiers nord afin qu’ils puissent y inventer leur vie n’en est que plus lourdaud.
Se connecter pour écrire un commentaire.
gargarisme collectif ! belle brochette de faux-jetons.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Ce qui fou c’est l’absence d’évocation des data center avec le futur cinquième d’entre eux sur le silos du sucre ….. ces industries du numérique vont bouleverser la fonction du port avec de nombreuses conséquences..
Se connecter pour écrire un commentaire.
Enfin on retrouve de l’humour dans Marsactu !
Se connecter pour écrire un commentaire.
“Ces grilles, il faudrait les brûler”
UNE INEPTIE DEMAGOGIQUE
pas de grilles sur le J4 précisément parce qu’il n’y a pas ou plus d’activité portuaire
mais circuler même en voiture sur un terminal roulier ou sur un terminal à conteneurs où circulent à 40kmh des charges de 20 à 40 tonnes serait suicidaire d’où les grilles; de même circuler sur les chaussées intérieures où se meuvent les uns derrière les autres des semi-remorques de 40 tonnes est périlleux .
Ancien administrateur du port autonome -(en qualiét de représentaje suis à votre disposition pour faire le tri entre les effets de manche à la mode et la réalité de l”activité portauaire
Se connecter pour écrire un commentaire.
Malheureusement les bassins est sont en sous-activité chronique, la plupart des môles est inoccupée et la digue ne sert plus qu’à l’hivernage des ferries l’hiver. Les conteneurs sont cantonnés à Mourepiane en accès direct avec les infrastructures routières et je pense qu’il y a bien longtemps que les semi-remorques ne rôdent plus dans le reste du port. Il eût peut-être été judicieux de regrouper le pôle ferries avec les pôles conteneur et croisière dans les môles nord et restituer à Marseille la partie sud à partir du pont d’Arenc, sud de la digue incluse.
Se connecter pour écrire un commentaire.
@Bernard, merci de votre initiative. Puisque vous y invitez les lecteurs de Marsactu, j’ai une question : les conteneurs de 20 tonnes, les semi-remorques de 40 tonnes, ne serait il pas plus utile de les faire circuler sur l’espace portuaire de Fos ? et de consacrer l’espace portuaire de Marseille à des activités plus “soft”, genre éclater des conteneurs pour livrer des colis de 20 Kg un peu partout sur le territoire de la Ville et ses alentours ?
ça supprime pas de travail sur Marseille, ça le transforme. Et ça en crée à Fos, qui offre tous les avantages pour ce genre de logistique “lourde” (notamment avec la connexion au Rhône).
Et ça allègerait la zone littorale de contraintes de sécurité, pour peut être la rendre accessible aux Marseillais.
Je me suis souvent interrogé sur ces orientations. Si vous avez des réponses, ça m’intéresse. Merci d’avance.
Se connecter pour écrire un commentaire.
représentant du personnel
Se connecter pour écrire un commentaire.
Ils ont pris cher, le Big Bazar.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Voir à Barcelone ou Gênes comment le port est dans la continuité de la ville. Impossible ici ???
Se connecter pour écrire un commentaire.
Encore un machin dont la fonction sera principalement d’employer quelques amis qui seront donc vos obligés (à charge de revanche, donc) et à continuer à occuper le terrain (la côte marseillaise) en toute illégitimité car complétement hors des clous de la fonction d’un port qui est de gérer des flux de marchandises et de passagers.
Et surtout un exemple de plus de ce qui fait mourir Marseille : le clientélisme.
Un jour – c’est particulièrement urgent vu le déficit de l’état et des collectivité territoriales – il faudra un audit sérieux sur ces points :
– Combien coûte l’entretien du vieux port (draguage, travaux, … ) et combien ça rapporte ? (Sommes versées par les plaisanciers usagers et leurs associations – société nautiques)
– Combien coûte l’entretien de l’espace entre l’Estaque et les Corbières (draguage, travaux, amortissement des « investissements » … ) et combien ça rapporte ? (prix payé par les sociétés qui gèrent cet espace et/ou les plaisanciers usagers)
– Pourquoi la nouvelle gare maritime n’accueille pas les véhicules en attente de départ pour l’Algérie mais que ceux-ci ont bloqué tout l’été le Bd du littoral entre Calade et Cabucelle ?
J’en passe et j’en oublie mais les lecteurs pourront en ajouter d’autres.
Bref le GPMM se casse la gueule mais c’est aussi un véritable boulet qui entraine avec lui toute la façade maritime marseillaise mais comme il nourrit aussi beaucoup de clients alors ils sont nombreux ceux qui ne voient rien n’entendent rien et, surtout, ne disent rien.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Et on devrait voir apparaitre dans l’organigramme du GPMM un directeur et un sous directeur de la pédagogie, chacun avec sa voiture de fonction …
Se connecter pour écrire un commentaire.
Aaah enfin des nouvelles de Castaner, ça faisait un bail ! Je me demandais ce qu’il devenait, ce qu’il faisait de ses journées. Je vois… palabres entre potes et petits fours…
On dirait que les journalistes de Marsactu saturent de la vie politique marseillaise, des discours blablatant des un.es et des autres, comme on les comprend ! Un peu d’humour, de légèreté, c’est bien aussi.
Surtout pour ce machin inauguré par le microcosme local, où les millions engloutis ne serviront à rien. Sinon à servir de cache misère à grand coup de “fiers de notre port à nous !”
Se connecter pour écrire un commentaire.
Aux coups de millions cités vous pouvez rajouter ceux dévolus à la construction du nouveau siège social qui semble d’un intérêt vital.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Lier le Porc avec sa ville ! tout le monde est pour ! Par ex, ce lien a existé pendant plus de 100 ans avec l’accès de la population à son littoral, 7 kms de digue du large, non entretenue, laissée crapuleusement à l’abandon, privant la ville d’une incroyable ressource de loisirs et de tourisme. Le reste n’est que blablatage
Se connecter pour écrire un commentaire.
‘Murs, ville,
Et port,
Asile
De mort,
Mer grise
Où brise
La brise :
Tout dort.
Dans la plaine
Naît un bruit.
C’est l’haleine
De la nuit,
C’est la plainte
Presque éteinte
D’une sainte
Pour un mort. […]’
Quelques années avant d’embarquer sur le ‘bateau ivre’ arthurien, je fus – et je reste – fascinée par cette magistrale performance poétique de Totor* : les huit vers de chaque strophe comportent un pied (= une syllabe) de plus que ceux de la précédente, jusqu’aux huit alexandrins de la strophe médiane, entre 2 strophes de décasyllabes puis ainsi de suite en abrégeant d’un pied à chaque strophe jusqu’au final où il retombe sur ses 2 pieds :
‘[…] On doute,
La nuit.
J’écoute.
Tout fuit,
Tout passe.
L’espace
Efface
Le bruit.’
Oui, car VH n’a pas écrit que Les misérables et Notre-Dame de Paris. Au passage, ce poème n’est pas un simple exercice de virtuosité, c’est aussi la mise en scène d’un cauchemar où se déploie l’imaginaire romantique (et orientaliste) de la terreur. Le jour s’est levé, tout mouillé : bon dimanche !
Se connecter pour écrire un commentaire.
Joli ! Je ne connaissais pas. Merci.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Oui merci 😄 quel plaisir !
Se connecter pour écrire un commentaire.