Le conseil municipal de Marseille débat enfin de la violence des trafics

Actualité
le 5 Mai 2023
6

Benoît Payan a inauguré le conseil municipal du 5 mai avec un discours dédié aux victimes des trafics de stupéfiants. Des mots inédits dans cet hémicycle, qui n'ont pas manqué de révéler les différents clivages politiques au sein de l'assemblée. Et dont les conséquences en actes seront scrutées.

Les élus municipaux ont observé une minute de silence en hommage aux victimes des trafics. (Photo : CMB)

Les élus municipaux ont observé une minute de silence en hommage aux victimes des trafics. (Photo : CMB)

Des “voyous qui se tuent entre eux”. Prononcée en 2012 par l’ancien maire Jean-Claude Gaudin (LR), la formule est restée gravée dans le marbre. Elle a symbolisé, pendant des années, l’indifférence de la Ville des Marseille face aux victimes des trafics. Et si des actes sont toujours fermement attendus, des mots inédits ont bel et […]

Cet article est réservé aux abonnés au journal

Vous seul garantissez notre indépendance Offres d'abonnement à partir de 1€ Poursuivez votre lecture et rejoignez la communauté JE M'ABONNE

Si vous avez déjà un compte, identifiez-vous

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. Soly Soly

    Enfin 🙏

    Signaler
  2. barbapapa barbapapa

    Il y en a qui peuvent commencer par ne plus consommer ni acheter !

    Signaler
    • Electeur du 8e Electeur du 8e

      Merci de le dire. Il n’y a pas seulement “des voyous qui se tuent entre eux”, il y a aussi d’autres voyous, bien propres sur eux, qui sont à la base de cette tragédie : les clients.

      Signaler
    • RML RML

      Sic était si simple que ça avec les drogues, cela fait 2000 ans que le problème serait réglé. Vous avez déjà entendu parler de la dépendance ?

      Signaler
    • Electeur du 8e Electeur du 8e

      Non seulement j’en ai entendu parler, mais j’ai aussi entendu parler de sevrage : il y a même des parcours de soin pour ça. Mais ici, ce que je mets en cause, ce sont ces gens bien sous tous rapports qui consomment de la drogue à titre “récréatif” et non parce qu’ils en sont dépendants.

      Signaler
  3. Jeanne 13 Jeanne 13

    On le voit depuis des années la sécurité seule ne suffira pas il est temps et urgent de remettre des moyens quotidiens de prévention sociale
    Les budgets n ont cessé de diminuer en matière de prévention notamment à destination des plus jeunes pour tout miser sur la sécurité ça ne suffit pas on le voit bien
    Un équilibre sécurité prévention coordonné est la seule solution
    La dimension sociale accompagnement famili
    Je suis d accord avec Sébastien Barles sur la possibilité d envisager la dépénalisation une autre solution à envisager

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire