L’architecte du Vélodrome de 1998 demande 480 000 euros à la Ville
L'architecte du stade Vélodrome conçu pour la coupe du monde de 1998 poursuit la Ville pour "atteinte à la propriété intellectuelle". Il estime que le nouveau stade dénature l'ancien édifice et réclame près d'un demi-million d'euros de dédommagements.
Le stade vélodrome lors de la dernière rénovation.
Commentaires
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Il avait fait une jolie fleur, mais pour servir de stade, c’était plutôt pourri, un architecte qui n’avait jamais mis les pieds dans un stade de sa vie et qui a rendu fous les supporters, et ça vient réclamer ! Ce serait à la collectivité publique de demander des comptes à l’architecte nul pour concevoir un tel stade de foot, et aux donneurs d’ordre encore plus nuls que lui.
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Il est vraiment très rare qu’un architecte décide tout seul de tout… En principe, il propose un projet qui doit respecter un cahier des charges établi par le maître d’ouvrage – ici, la Ville de Marseille – et c’est ce dernier qui choisit le projet qui lui convient.
Je comprends de l’article que l’absence de toit résultait plus du cahier des charges que de “l’architecte nul”.
Le véritable débat que pose ce litige entre l’architecte du stade de 1998 et la Ville est autre : en principe, quand on construit un stade, c’est pour plusieurs décennies (à titre d’exemple, le Parc des Princes date de 1972). A Marseille, on a réussi l’exploit de le démolir au bout de 15 ans.
Et même s’il n’avait pas coûté très cher, c’est un gaspillage d’argent public qui s’ajoute au coût astronomique du nouveau stade, que nous allons payer pendant 35 ans (en espérant qu’il ne sera pas lui aussi démoli prématurément sur le caprice d’un futur maire…).
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Quoi qu’il en soit ce genre d’opération, comme tant d’autres (tramway qui doublonne avec le métro, patinoire, conseil régional, départementale etc.) coûtent un bras aux contribuables. Mais la commune a laissé se dégrader les des écoles des quartiers pauvres. Le sens des priorités n’est pas dans l’ADN de la ville de Marseille.
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Un toit pour le vélodrome où il ne pleut jamais… Toujours pas de toit à Roland Garros où il pleut tout le temps…
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Ni de préau à l’école maternelle située à côté …
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A l’époque JC Gaudin avait justifié son choix en affirmant qu’il ne pleuvait jamais à Marseille…
C’est comme pour la pollution : “on n’en a pas ici car il y a le mistral”.
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C’est qu’on fait de mieux depuis l’abolition des privilèges: le droit d’auteur et la propriété intellectuelle. On se fatigue un jour et on récolte toujours: le rêve américain! Certains architectes empêchent les propriétaire d’aménager leur résidence pour corriger les défauts de leur conception ou de la maîtrise d’oeuvre qu’ils n’ont pas su surveiller, … Espérons en la justice pour ne rien lâcher à l’archi et faire réviser les loyers à la hausse, !
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Oh les enfants , faites attention avec cette histoire d’architecte !.
Nous pouvons lire dans la presse locale qu’avec la demande des supporters à l’occasion du match de coupe d’Europe jeudi le Stade Vélodrome aurait pu être triplé en terme de capacité.
Pourvu que cela ne donne pas mauvaises idée à Jean Clôôôôôôôôôde, dés fois qu’il veuille encore l’agrandir ce Stade Vélodrome. Car dans son délire perpétuel , il en est capable.Et là nous aurions effectivement des soucis avec l’architecte.
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