La mort de Mehdi assombrit encore le destin de la cité Maison-Blanche
Vendredi soir, Mehdi, 19 ans, a été abattu par un policier de la BAC. Selon le parquet, celui qui intervenait après un braquage était menacé d'une arme. Deux enquêtes sont en cours sur les circonstances de ce drame. En attendant, à la cité Maison-Blanche, les proches du jeune homme se souviennent de lui et réclament justice.
Une banderole en hommage à Mehdi Bourogaa dans la cité de Maison-Blanche en février 2020. (Image BG)
Commentaires
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Nous savons tous que parfois la police est en tort mais dans ce cas de figure, difficile de se prononcer. Il faut que les policiers portent obligatoirement leurs caméras ce qui éviteraient des spéculations. Au premier abord tout de même ce jeune était un délinquant notoire et armé. Donc j’ai envie de dire, ce qui n’est pas dans mes habitudes , il a pris ses responsabilités
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c’est le lidl des chartreux (pas celui de plombiere).
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les vitres du lidl étaient criblées d’impact de balles . Le lidl était ouvert, avec les employés et les clients dedans.
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Hors sujet, mais pas tant que ça : en lisant l’article consacré à cette affaire sur Mars-infos, on apprend que Denis Trossero, voix de la police dans les colonnes de La Provence, enseigne à l’Ecole de Journalisme et de Communication de Marseille.
Oui, Denis Trossero, le gars qui écrit le nom et prénom des prévenus et mis en examens lorsqu’ils ont un nom à consonance arabe/amazigh/gitan/comorienne. Et en deux clics, on voit qu’il a sorti deux ouvrages avec Gilbert collard, avant qu’il ait rejoint le FN (le rassemblement bleu marine plus exactement), mais qui n’avait déjà plus aucune crédibilité morale depuis longtemps (la fameuse enveloppe avec soi disant les noms des coupables de la profanation de Carpentras.
Gilbert collard, qui nous avait dispensés deux ou trois cours de déontologie il y a 25 ans de cela à la même école. Les directions de l’EJCM se suivent mais leurs choix d’enseignants sont toujours aussi judicieux
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