[La gloire de nos pierres] La bastide de Pagnol devenue temple maçonnique
En ruines, reconverties ou entourées de barres d'immeubles, quelques dizaines de bastides d'antan ont survécu à Marseille et alentours. Elles rappellent un passé bourgeois bucolique façon Pagnol, mais témoignent aussi des inexorables métamorphoses du paysage urbain. À la Valentine, un château du 18e siècle doit sa survie, et sa renaissance, à la Grande loge de France, qui a décidé d'y installer son temple marseillais. Visite guidée.
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Commentaires
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Les bastides dites” marseillaises” sont, ou plutôt étaient un véritable patrimoine , un art de vivre du moins pour certains sans doute du 18e jusqu’à la fin du 19e ,début 20e.Les édifices étaient remarquables , d’une grande beauté et généralement au milieu de parcs.
Mais le virus immobilier touchant Marseille , ce magnifique patrimoine a quasiment disparu. Les bastides et les parcs avec. Alors ,un temple maçonnique pourquoi pas ?, si cela en sauve une.
Néanmoins, j’aimerais rappeler à nos lumières locales , qu’une ville comme Gênes qui a été capitale de la culture et qui comme Marseille avec ses bastides possède un patrimoine local , en l’occurrence des palais, à retapé ces dits édifices alors que nos génies municipaux ont fait défiler des moutons devant une assemblée de blaireaux.
Que voulez vous ,c’est la différence entre une ville d’épiciers et une ville de marchands dont le surnom était la “Superbe”, ne l’oublions pas.
Il n’y a pas de hasard dans la vie , les ânes ne pourront jamais se transformer en chevaux de courses.
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Tout d’abord merci à la Journaliste Lisa Castelly pour son article.
Cependant, je me dois de corriger deux “erreurs”, sans doute bénignes et/ou passées inaperçues pour la majorité des lecteurs.
– Dans le préambule vous parlez de la “Grande loge nationale de France” (GLNF) au lieu de la “Grande Loge de France” (GLF), confusion regrettable.
La première, strictement masculine et sous la bannière de la Grande Loge Unie d’Angleterre (GLUA) ne reçoit aucun Franc-Maçon d’une autre obédience ou fédération françaises et ne visite personne.
La deuxième, bien française, est aussi strictement masculine, mais visite d’autres structures maçonniques tant masculines que féminines que mixte. Mais elle organise souvent des manifestations et des conférences largement ouverte.
Et puis pour l’investissement financier et l’excellent travail de rénovation, rendons à César ce qui lui appartient.
L’erreur de dénomination ne s’est d’ailleurs pas renouvelée dans le corps de l’article.
– La GLDF n’est pas multi-rites et n’en pratique qu’un : le “Rite Ecossais Ancien Accepté” (REAA). Je ne pense pas que cela ait changé récemment.
Elle ne pratique donc pas le “Rite Ecossais Rectifié” (RER) ni aucun autre rite.
Voili, voilou…
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Merci pour ces précisions Irène Jouaneton, qui sont en effet des erreurs d’inattention. Nous corrigeons de ce pas !
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De rien Lisa. Et continuez votre bon travail de journaliste que j’apprécie.
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Très intéressant article Lisa Castelly, merci beaucoup. Et bravo à Frederic Lafage et sa sœur pour leur combat acharné face à l’indifférence des autorités locales, des descendants de la famille propriétaire à l’origine et même de certaines associations de protection du patrimoine. L’extension moderne est très discutable et le parc plein de charme et planté d’arbres remarquables a été massacré mais il faut se réjouir que ce patrimoine ait été sauvé en partie de la folie destructrice des promoteurs immobiliers et de l’incurie des élus.
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