Faire du mécénat comme au temps des rois

À la une
le 13 Jan 2014
2
Faire du mécénat comme au temps des rois
Faire du mécénat comme au temps des rois

Faire du mécénat comme au temps des rois

Il faut pénétrer sous le porche, s'aventurer jusque dans une cour pavée, rue Sainte, pour trouver l'ancienne manufacture impériale de tabac. Il s'y pratique aujourd'hui une forme originale de mécénat. Dans la grande pièce dédiée aux artistes, les poutres en bois du plafond associées aux pierres apparentes des murs donnent un certain cachet à l'endroit, où s'entraîne actuellement la danseuse Sandra Français, lauréate 2013 de la Biennale des jeunes créateurs. Les murs de pierres changent singulièrement des murs blancs habituels des lieux d'exposition. Mais le lieu, la Manufacture 284 C, est justement inhabituel. Pendant quinze jours, les clés du ...

Commentaires

Rejoignez-la communauté Marsactu pour, vous aussi, contribuer au débat local. Découvrez nos offres


ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. GENEVIEVE GENEVIEVE

    C’est généreux et courageux ! Et dangereux … pour s’assurer que les artistes choisis ne font pas que copier, ou recopier en pensant étre simplement inspirés il faut connaitre un minimum ce qui se fait donc avoir une connaissance du milieu de l’art, qui est maintenant international ! Sinon certains artistes ayant deja eu une reconnaissance par ailleurs ne voudront pas être exposés pour ne pas être assimilés à ce qui pourrait être considérés comme inintéressant ! donc la barre doit être mise haut ! Tout art ne mérite pas les cimaises ou une installation ! C’est le hic ! Beaucoup d’artistes le sont pour se faire du bien ou parce qu’ils ne savent pas faire autre chose ! c’et triste, mais c’est la vie ! Il faut arrêter de leur faire croire qu’ils sont des génies parce qu’ils se sont décrété artistes ! Il y a “la maison des artistes” qui garantit le premier niveau .

    Signaler
  2. PourVoir PourVoir

    “… ce que l’avant-garde conteste, c’est le bourgeois en art, en morale, c’est, comme au plus beau temps du romantisme, l’épicier, le philistin ; mais de contestation politique, aucune. Ce que l’avant-garde ne tolère pas dans la bourgeoisie, c’est son langage, non son statut.” Roland Barthes, Mythologies, p. 226-227

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire