Face aux membres d’un gang nigérian, la quête de justice de femmes victimes de viol
Le procès du gang des Aro Bagas révèle les violences sexuelles subies par les exilées nigérianes à leur arrivée à Marseille. Le témoignage d'une victime a tourné à la confrontation.
L'entrée du tribunal, rue Emile-Pollak. (Photo Violette Artaud)
Commentaires
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Ce compte rendu comme l’article précédent décrit des gens odieux,violents, pervers.
En résumé des sales types.
Donc pas de gants.Réfugiés, clandestins ou demandeurs d’asile ,quelques soient leurs statuts,dehors.Et ne commençons surtout pas à faire fonctionner la fabrique à raisons donc à excuses. Cela est insupportable.
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