En pleine crise économique, la métropole fait le choix de l’austérité
La métropole Aix-Marseille-Provence a adopté jeudi un budget d'austérité. Le coup de rabot frappe d'abord les investissements avec 25 % de baisse. Au-delà de ce gel conjoncturel, l'opposition dénonce le déséquilibre entre les différents territoires.
Martine Vassal présidant l'hémicycle de la métropole. (Photo archives : Emilio Guzman)
Entre larsen et écho, la présidente de la métropole Aix-Marseille Provence, Martine Vassal ouvrait ce jeudi la dernière séance du conseil métropolitain de l’année 2020. Crise sanitaire oblige, le ton est grave et l’image brouillée par la visioconférence qui met à distance l’ensemble des conseillers. “Tenir bon, ne pas ralentir et surtout surmonter cette crise, exhorte Martine Vassal, en ouverture. Face à la crise, la métropole a tenu tous ses engagements malgré un budget en tension. Nous allons continuer à investir pour valoriser notre territoire.”
Or, “la métropole de la main tendue” que propose Martine Vassal, celle qui est prête à participer à un plan de relance de 2,4 milliards d’euros aux côtés du département, de la région et de l’État est aussi la métropole du grand coup de rabot dans les investissements. En termes budgétaires, il est ainsi défini : “Suite à des arbitrages forts, les dépenses d’équipement sont en baisse conformément à l’évolution de la capacité financière du budget.”
Le rabot est réglé large : avec 350 millions d’investissements votés pour 2021, hors transports et déchets, c’est près de 25 % de dépenses en moins par rapport à 2020. La crise étant passée par là avec un effet délétère sur les recettes, la métropole a emprunté massivement en 2020, pour un total de 485 millions d’euros. Aux 343 millions prévus en début d’année pour financer les investissements se sont ajoutés 142 millions afin d’amortir l’impact de la crise du Covid.
Très chiffrée, la présentation du vice-président au budget, le maire de Saint-Chamas Didier Khelfa ne donne pas beaucoup de corps à ces choix, si ce n’est pour espérer que ce serrage de ceinture à plusieurs crans ne dure pas trop longtemps.
Le “vœu pieu” de l’appel à l’État
Dans le camp de l’opposition, les avis sont plus tranchés. Le président du conseil de territoire du pays de Martigues, le communiste Gaby Charroux dénonce ainsi “le vœu pieu” d’une sempiternelle demande de soutien à l’État, une nouvelle fois formulée en début de conseil. “C’est le même vœu pieu depuis six ans, dit celui qui était candidat face à Martine Vassal en juillet 2020. Comment imaginer qu’une telle requête, même unanime, pourrait être entendue ?” Le maire de Martigues veut demander à l’État une annulation pure et simple de la dette qui, tous budgets confondus, s’élève à 3,1 milliards d’euros. “Sinon, dit-il, les 7e et 8e et 9e budgets seront identiques”.
L’un des rares élus La République en marche et ancien vice-président aux transports, Jean-Pierre Serrus, dénonce un “budget anti-métropolitain”. “Or, un exécutif doit défendre les politiques métropolitaines”, estime-t-il, pointant notamment le dévissage du budget transports : “sur trois ans, au lieu d’investir 750 millions dans cette compétence essentielle, on aura mis à peine la moitié”.
Sur ce dernier point, son successeur, le maire d’Eyguières, Henri Pons fait une réponse étonnante. Vice-président dans un domaine dont il connaît le retard en termes d’infrastructures, il plaide pour un ralentissement. “Tu as construit un plan mobilités, ambitieux, louable, mais qui n’a pas tenu compte de la façon dont la métropole a été
Je suis très favorable à la mobilité, mais au moins pendant deux ou trois ans, baissons la voilure.
Henri Pons, vice-président aux transports
construite et de son taux d’endettement, analyse-t-il. Je suis très favorable à la mobilité, mais au moins pendant deux ou trois ans, baissons la voilure. Ralentissons.”
Cet appel à la modération alors que l’urgence climatique menace toujours relance le débat plus profond de la nature de la métropole, conglomérat d’intercommunalités plutôt que véritable institution qui dynamise le territoire.
“Vous avez dit en introduction que la métropole n’a jamais failli, commente Marc Péna, pour la gauche aixoise. Le budget démontre qu’il sera difficile de rendre ce vœu réel. Ce budget est très inquiétant et il naît de la construction même de la métropole.” Il insiste donc pour une réforme en profondeur de la gouvernance et “un projet métropolitain de nature à rassurer l’État”.
La chambre des comptes pointe une malformation de naissanceSi le slogan “l’audace par nature” a accompagné les débuts de la métropole, c’est la nature de la métropole qui nourrit un débat permanent depuis six ans. Le 15 octobre encore, la chambre régionale des comptes en dressait une portrait sévère, en rappelant le péché originel des anciennes intercommunalités qui ont chargé la mule avant l’avènement de la nouvelle institution. Pour le Pays d’Aix, singulièrement, “le lancement effectif des opérations s’est accéléré à la veille de la création de la métropole”, écrivent les magistrats. La dette des anciennes intercommunalités a ainsi grimpé en prévision de leur fusion dans la nouvelle métropole : “Ainsi la dette du pays d’Aix a été multipliée par 2,5 entre 2013 et 2015, celle de l’Agglopole [l’actuel conseil de territoire du pays salonais, ndlr] a augmenté de plus de 62 % en un an (2014-2015) et celle du Pays d’Aubagne de 45 % entre 2013 et 2015″. Et l’héritage dure. La chambre calcule qu’en 2019 près de trois quarts des investissements étaient le résultat de décisions prises avant la création de la métropole. Ces défauts originels perdurent aujourd’hui dans des budgets principalement absorbés par les différents territoires “au lieu de privilégier une véritable stratégie métropolitaine”, se permettent de noter les magistrats.
Déséquilibre entre territoires
La manne est mal répartie, complète l’élue marseillaise Prune Helfter-Noah (LFI) en pointant les écarts entre conseils de territoire. “Le pays d’Aix se voit allouer un budget d’investissement de 109 millions d’euros pour 400 000 habitants alors que le territoire de Marseille-Provence ne reçoit que 107 millions pour un million d’habitants.”
Elle plaide donc pour un rééquilibrage des budgets des territoires qu’appelle aussi de ses vœux Sophie Camard. “Il faut sortir de ces guerres de comparaison et donner sa place à la ville centre”, plaide la maire des 1/7. Après avoir voté contre le budget du conseil de territoire les élus du Printemps marseillais s’abstiennent, tandis que des élus écologistes de la liste Debout Marseille votent contre.
En réponse, Didier Khelfa rappelle la règle qui prévaut dans la répartition des investissements : “Elle tient à l’historique des anciennes intercommunalités. Elle tient compte du poids relatif des investissements entre 2012 et 2015. Quand on rabote, on demande des efforts de manière linéaire : on applique le même taux à chacun. On aurait pu faire le choix d’une clef par habitant.” Un choix fixé à la création de la métropole en 2016, sous la présidence de Jean-Claude Gaudin, et qui était valable jusqu’à fin 2020. Mis entre parenthèses avant les élections municipales, le nouveau pacte attend encore d’être négocié.
Commentaires
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photo prise quand ? car ,i masques, ni distance
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Bonjour, c’est une photo d’archive comme mentionné dans la légende, mais ce n’est pas très visible j’en conviens. Ce choix est motivé par la difficulté à illustrer une visioconférence.
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Même stupeur : aucune personne masquée, aucune distance physique… Si la photo date effectivement de ce jour, c’est stupéfiant de légèreté et d’insouciance. Mais venant de LR on en a vu d’autre 😒
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Commentaire trop vite envoyé : c’est une photo d’archive 😉
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Nous avons la confirmation que cette métropole est non pas déséquilibrée mais fait preuve de favoritisme au profit de la repris de justice d’Aix ,et ouï il faut bien que Vassal paye ses dettes pour l’achat de sa présidence à la métropole, que l’intérêt particulier prime sur les missions de cette institution, on sacrifie les transports,que la qualité de gestion de Vassal est douteuse avec un niveau très,trop élevé et demande à l’Etat d’annuler sa dette . Discours étonnant quand on l’écoute par ailleurs taper sur le gouvernement. Qualité de gestion douteuse et pourtant elle à fait Kedge,c’est dire.
Par contre,rien sur les frais de fonctionnement.
Le “Machin” comme aurait dit le Général est mort né ,mal conçu,et nous venons avec ce budget de voir en direct sa mort financière.
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Avec un niveau d’endettement
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Tendance similaire dans les autres métropoles hors “Lyon la pionnière vertueuse” ?
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Pendant ce temps, le Sytral, autorité organisatrice de la mobilité de la métropole lyonnaise vient de voter un ambitieux “plan de mandat” pour les six ans à venir, d’un montant de 2,5 milliards d’euros.
Tout le monde sait ici ce qu’il faudrait faire pour redonner des marges de manœuvre à notre métropole : cesser de redistribuer l’essentiel de ses ressources aux communes. Tant que cette anomalie unique en son genre ne sera pas corrigée, l’Etat accueillera avec des éclats de rire toute demande d’aide exceptionnelle.
Mais on peut compter sur nos petits maires et sur leur vassale pour n’en rien faire – et pour creuser encore les immenses retard auxquels se heurtent les habitants du territoire.
Je note enfin que la tension sur les finances de la métropole n’a, semble-t-il, pas empêché la vassale des maires de créer récemment un poste sur mesure, très correctement rémunéré, pour un obligé de la maire d’Aix, écarté des élections pour cause d’ennuis judiciaires.
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Des comportements mafieux dont la classe moyenne + qui s’est isolée du « peuple », se fout éperdument dès lors qu’on lui laisse mener le train de vie qu’elle a choisi. Bref, la démocratie !
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Ce qui est frappant dans ce budget c’est le caractère inédit d’une baisse des dépenses d’équipements / d’investissement alors que l’austérité se manifeste d’abord par des coupes dans les dépenses de fonctionnement (masse salariale surtout). Et qu’elles sont notamment justifiées parce qu’elles permettent de préserver les dépenses d’investissement – jugées comme des dépenses “vertueuses” alors que le fonctionnement est toujours considéré comme un “coût”. Est-ce à dire que ce premier étage avait déjà été réalisé (“après la graisse, l’os”, comme le disent souvent les directeurs financiers en régime d’austérité) ? Ou qu’on passe directement à l’étape d’après en préservant le fonctionnement, renversant ainsi la logique de la consolidation budgétaire ?
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« alors que le fonctionnement est toujours considéré comme un “coût” ». Vision purement banquière de l’économie qui finance par ailleurs les multinationales pour des services de même nature. L’impôt finit donc dans la poche des banques au lieu de rester dans l’économie “collective”.
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les élections sont passées, fin des promesses, retour aux bonnes vieilles méthodes
les marseillais sont punis pour leur vote c’est la politique des copains et des renvois d’ascenseur rien de nouveau
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En matière de logement et d’habitat indigne, au cours de son intervention, M.Amico a rappeler à Mme Vassal que la Ville de Marseille est maintenant pleinement acteur au sein de la PPA et que très vite il faudra entamer une discussion pour une mise en cohérence de tous les dispositifs existants dans ce domaine avant toute éventuelle prorogation des concessions au profit notamment d’Urbanis Aménagement, Soléam, etc… La mise à disposition des rapports d’activités de ces concessions a été également évoquée au cours de son intervention.
Il y a également Mme Pétel qui à demandé avec insistance une chartre de déontologie des élus métropolitains plus complète et précise
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a
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De toutes les façons, hors mis les frais de fonctionnement que l’on ne touche pas,faut pas déconner c’est fromages et desserts, Vassal n’a pas le choix, financièrement elle est à Paiole et nous avec.
Alors les impôts vont augmenter,les transports se dégrader et la saleté augmenter.
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La différence majeure entre la métropole lyonnaise et la métropole marseillaise c’est qu’à Lyon les élus métropolitains sont élus au suffrage universel direct et donc sur un projet métropoltitain, alors quà Marseille ce sont des conseillers municipaux des villes membres qui sont élus sur un projet municipal !
Une autre spécificité marseillaise c’est le nom de la Métropole : Aix-Marseille !
C’est comme si on avait : Métropole Lyon-Villeubanne, Lille-Roubaix-Tourcoing, ou Bordeaux Pessac…
Pourquoi Marseille passe toujours derrière Aix en Provence ?
Parce que Marseille est populaire et Aix bourgeoise ?
Je ne vois pas d’autre explication rationnelle !
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C’est comme si on avait Métropole Villeurbanne-Lyon, Roubaix-Tourcoing-Lille, Echirolles-Grenoble, Montreuil-Paris…
Et ce n’est pas qu’une bizarrerie linguistique, on le voit, ça traduit une réalité, les villes satellites de la périphérie marseillaise se repaissent sur le cadavre de la ville centre (et ça fait longtemps que ça dure).
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« …des budgets principalement absorbés par les différents territoires “au lieu de privilégier une véritable stratégie métropolitaine” ». Cette phrase résume à elle seule le fiasco des regroupements. Etablir la règle du transfert de l’actif et du passif à l’intercommunalité lors du transfert de compétence est la porte ouverte à tous les abus. D’une part, les calculs sont biaisés en fonction de la position électorale que va tenir la commune qui entre, d’autre part les charges de fonctionnement, notamment en personnels, sont rarement transférées à leur juste valeur pour les mêmes raisons. La mutualisation des services reste donc un vœu pieu qui n’a pour but que d’augmenter les chiffres d’affaires des multinationales qui, à terme, sont maîtres de l’évolution des prix. Cela se traduit par des impôts en plus ou une qualité de services amoindrie souvent négociée en douce par les élus pour limiter « les dégâts ». Les seuls bénéficiaires de ces mécanismes contre nature restent donc les banquiers dont le volume des prêts ne cesse d’augmenter. Bon courage les minots, vous n’êtes pas au bout!
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Je suggère qu’avant de rechercher la responsabilité des multinationales et des banques, on regarde celle, beaucoup plus directe, des élus censés gérer notre métropole et lui donner une stratégie – donc penser à long terme.
Veolia et BNP-Paribas ne sont pour rien si la métropole de Marseille-Aix est la seule en France qui gaspille ses ressources en dépenses communales au lieu de financer des projets communs. Ce sont les égoïsmes municipaux, encouragés par des élus démagogues et plus attachés à leur réélection à court terme qu’à l’intérêt général, qui en portent l’entière responsabilité.
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Allez donc trouver des projets communs entre Rognes et Marseille !
A part l’eau et l’assainissement (Véolia, Seram et donc Suez et donc…Véolia) au final, vous ne trouverez que les projets d’une banque. L’élu n’est là que pour jouer sa pièce de théâtre et avoir l’impression de paraître un peu en faisant de grands gestes dont les fils qui les actionnent sont appelés « démocratie ».
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Vous êtes remarquablement caricatural. Il y a de fortes chances pour que l’habitant de Rognes travaille dans une autre commune. Il suffit de voir les cartes des déplacements quotidiens sur l’aire métropolitaine, qui est en fait un unique bassin d’emploi.
Or, ça tombe bien, parmi les prérogatives majeures des métropoles, il y a la mobilité. Et ça, c’est la vie quotidienne des gens : rien à voir avec les projets “d’une banque” (?).
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Si je suis caricatural, il semblerait que vous soyez à côté de la plaque. Vous connaissez beaucoup de services de « mobilité » gérés par la Métropole et utilisés par des habitants de communes autres que Marseille et Aix pour se rendre sur leur lieu de travail? A ma connaissance, elle ne gère ni les départementales ni les pompes à essence.
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Ah oui, je vous confirme que j’en connais. Mais c’est normal, je suis de la partie. Être ignorant, c’est aussi une façon d’être à côté de la plaque.
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« L’expérience est une lanterne que l’on porte sur le dos et qui n’éclaire jamais que le chemin parcouru. » Confucius. Pour éclairer devant essayez d’aligner quelques exemples, qui sait, vous pourrez peut-être nous convaincre ?
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Ces voyous de droite avec leurs 2 bras cassés et leurs cervelles de piaf, continuent à faire ce qu’ils ont fait à Marseille pendant 25 ans et qu’ils font au Département… Totalement étrangers à l’idée de “politique publique”, ils font de la politique en servant leurs clientèles territoriales ou électorales, avec une bonne louche de copinage en sus… Chaque village au Maire bien pensant et docile continuer
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C’est pas sympa pour les piafs. Si vous lisez le dernier numéro de “La Hulotte” (j’en conviens, c’est assez confidentiel) justement sur les piafs, vous vous apercevrez qu’outre le fait d’être intelligents, ils ont en plus un sens inné de la solidarité et du groupe 😉
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Je suis aussi un fidèle lecteur de La Hulotte depuis des décennies, et je la recommande à tout le monde : on y apprend beaucoup de choses sur le monde animal, souvent beaucoup plus sympathique que les crocodiles qui peuplent le marigot politique local.
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Weygand père Pdt du CG13) faisait de même avec Vigouroux (maire de Marseille), non ?
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En plus d’être géniale, la hulotte n’est pas si confidentielle que ça : c’est quand même “le journal le plus lu dans les terriers” !
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continuera à avoir son super gymnase et sa salle des fêtes mais d’infrastructure collective utile à l’équilibre et à la prospérité d’ensemble du territoire, de politique publique de long terme visant l’intérêt général on n’en verra jamais le début…
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Jacques 89, vous avez raison il n’y a pas assez de monde à la métropole.Il faut doubler ou tripler les effectifs.
Concernant votre observation sur les classes moyennes et ou supérieure qui se ficheraient de tout , remettez votre couteau entre les dents comme les rouges de la “grande époque” cela vous évitera de dire des inepties.
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@LN, oui moi aussi je lis “La Hulotte” comme quoi Electeur du 8e et Pascal L raison, ce n’est pas un journal si confidentiel. Je présente toutes mes excuses aux piafs et à leurs admirateurs !
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Vous m’avez l’air en tous cas de drôles d’oiseaux quhulottės.🦜🐦
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