"En matière de transports collectifs, il y a beaucoup de croyants, peu de pratiquants"
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Commentaires
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bien d’accord avec Mr DOMENACH,
1: le problème n’est pas dans l’offre même si retard il y a , le problème est dans la définition et la stratégie des transports dans le domaine automobile et cyclable,
2: en regroupant tous les techniciens on fera encore écran et inertie dans le changement et la gestion de l’offre
3:inventer une ville autour des réseaux de transport alternatif, pas seulement à l’échelle de la métropole, mais dans nos centres et quartiers
4: restreindre les usages de la voiture en zone congestionnée , cela revient à faire une révolution de nos élus en termes de guider la révolution de nos mobilités
5 : volonté politique, on l’attend
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on approche de 2014 et les élus ne vont certainement pas aller à l’encontre des électeurs …
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M. Domenach n’est pas un spécialiste “en chambre”, et cela suffit à rendre son opinion pertinente et respectable.
Pourtant, dire que “le seul vrai problème est qu’il n’y a pas de billetique unique” me paraît un peu trop réducteur. L’empilement des autorités organisatrices sur le même territoire est aussi un problème, et pas seulement pour des raisons de billetique. Car cet empilement empêche les choix collectifs les plus pertinents, chacun défendant son pré carré.
Est-il normal, par exemple, que la liaison Aix – Marseille soit majoritairement effectuée en car, sur une autoroute archi-saturée, pendant que la ligne ferroviaire reste incapable d’accueillir une vraie desserte cadencée ? Est-il normal que l’une dépende du département, et l’autre de la Région ? Est-il normal que des communes du pourtour de l’Etang de Berre aient dû créer leur petit syndicat mixte de transport parce que les trois autorités organisatrices dont elles dépendent respectivement ne répondaient pas aux besoins de leurs habitants ? On pourrait multiplier les exemples. Les retards d’infrastructure sont certes liés au fait que bon nombre d’élus de l’aire marseillaise n’ont découvert l’intérêt des transports collectifs que récemment, mais aussi à la dispersion des centres de décision.
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Pour moi qui suit une inconditionnelle des transports en commun, je discute souvent avec des usagers potentiels .
Le plus grand frein est l’absence de parkings GRATUITS ET SECURISES à l’entrée des agglomérations .
Tout le monde ne dispose pas de voiture avec chauffeur, ne peut s’offrir un parking Vinci et ce sont eux “les croyants non pratiquants”: nécessité fait loi .
Quant aux investissements , ne pensez vous pas qu’il y a un grand gaspillage à doubler le métro avec le tram au lieu d’étendre les dessertes ?
Les voitures en sécurité, des transports en commun utiles peu chers, (voire gratuits si parking) et largement répartis dans la ville et sa banlieue … c’est tellement simple qu’il doit y avoir de “sérieuses raisons “( sic ) pour que la mise œuvre ne soit même pas envisagée ….
Que de bla bla bla pour justifier l’injustifiable !
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