En devenant préfet de police, le préfet de région centralise le pouvoir autour de lui-même
Dans une conférence de presse haute en couleur, le nouveau préfet de région, Georges-François Leclerc, a entériné la disparition d'un préfet de police de plein droit, devant le dernier titulaire du titre, appelé à rejoindre le Jura.
Pierre-Édouard Colliex et Georges-François Leclerc, lors de la conférence actant la fin de la préfecture de police de plein droit. (Photo : B.G.)
Benoît Gilles
Journaliste
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Retour à la case départ, la réforme aura duré 13 ans et ne semble pas avoir été vraiment concluante. La pyramide administrative français a pour seul sommet le préfet qui représente directement l’État. Une dualité ne fonctionne pas dans notre administration hyper centralisée. Paris (ex département de la Seine) abrite le ministère de l’Intérieur et n’a donc pas besoin d’un représentant. Il y a à Paris une “Préfecture de la région Ile de France, préfecture de Paris” qui est en fait seulement préfecture de région et une Préfecture de Police de Paris. Donc aucun dualisme.
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Ce pauvre Muselier qui, pour tenter d’exister, brasse de l’air sur le réseau “social” d’Elon-le-bras-tendu…
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Merci @Marsactu et @Benoît pour ces éclaircissements sur une histoire à laquelle (une fois de plus) je ne comprenais rien. Heureusement que vous êtes là pour nous donner des clés de compréhension autres que les tweets de Mumu.
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