En année capitale, les artistes galèrent toujours pour trouver du boulot

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le 1 Sep 2013
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En année capitale, les artistes galèrent toujours pour trouver du boulot
En année capitale, les artistes galèrent toujours pour trouver du boulot

En année capitale, les artistes galèrent toujours pour trouver du boulot

Dix ans après le grand mouvement des intermittents du spectacle, la question de leur statut reste sensible. D'autant plus quand celle-ci croise la route d'une capitale européenne de la culture dont les mérites en termes de retombées économiques sont déclinés à toutes les sauces. La semaine dernière, Jacques Pfister, le président de l'association Marseille-Provence 2013 […]
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Commentaires

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  1. Anonyme Anonyme

    C’est la crise pour tout le monde et le régime des intermittents arrange bien certains qui accumulent indeminités et travail au noir..sincèrement, ils ne sont pas à plaindre..y a pire.

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  2. toto toto

    Il faudrait se poser aussi la question: n’y a-t-il pas trop de personnes qui se considèrent comme artistes?

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  3. savon de Marseille savon de Marseille

    RECTIFICATIF : les intermittents du Spectacle ! :un système à réformer ,et par respect pour les autres travailleurs.
    Marsactu ne donne pas les chiffres : je vous les donne , c’est raide :
    http://www.montesquieuvolvestre.com/article-intermittents-du-spectacle-l
    On n’a pas à financer ce gouffre , surtout dans le SUD , ou avec les Festivals , il est possible de cachetonner 4 mois juin/juillet/aôut/septembre pour toucher 8 mois de chômage plein après. Sans compter les boites de production qui détournent le système.

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  4. loulouvert loulouvert

    C’est fou comme il y a des lecteurs qui peinent à lire ….
    merci Marsactu pour nous rappeler que la capitale européenne de la culture n’a pas permis de développer les pratiques culturelles et de permettre à des artistes résidant locaux d’y contribuer en étant rémunéré !
    La magie du bénévolat a encore frappé pendant toute l’année.
    Plutôt que d’embaucher des gens pour l’accueil et l’information du public on a préféré embaucher des bénévoles qui sont fier de l’être …
    C’est un choix politique
    le débat sur le régime de l’assurance chomage des intermittents est un sujet suffisamment complexe est sérieux pour mériter mieux que des commentaires scabreux, trop rapide et libéraux !

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  5. joliette13 joliette13

    Il n’y pas que les intermittents du spectacle, il y a aussi des responsables de structures culturelles, de centres d’art, de spectacles de rue qui sont obligés de fermer la porte (2 ont déjà fermé cette année) car ils n’ont pas eu de financements de la part de la ville, de la région ou du département et que 2013 ne les as pas soutenus. Il faudrait aussi réfléchir à tous ces lieux qui ont été créés, rénovés, agrandis… et qui n’auront pas les moyens d’être animés l’année prochaine et tous ces gens qui ont été embauchés cette année pour animer, accueillir, mettre en place ces événements qui vont pointer à la fin de l’année. Et ils ne sont pas intermittents

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  6. Dazibaos Dazibaos

    A part Marseille Downtown … Qui a profité de MP2013 ? surement pas les artistes de Marseille … Amer constat .

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  7. Anonyme Anonyme

    Contrairement à Aix, Marseille n’est pas une ville qui a une tradition culturelle, c’est une ville de “mercanti”. On confond culture avec tourisme, avec spectacle et avec agitation désordonnée. Du moment qu’on fait du bruit ou qu’on accroche des croutes aux murs, on est un “artiste”. D’où la piètre qualité des manifestations marseillaises ou leur totale inadéquation. Je n’ai rien contre les moutons mais présenter un défilé de bestiaux comme le clou d’une année culturelle me semble un peu ridicule. L’exposition Grands Ateliers du Midi se rapproche plus à mon sens de la thématique mais il aurait peut-être fallu soigner l’environnement : la saleté autour du Palais Longchamp est désespérante. Ce ne sont que des exemples : pas de plan d’ensemble, pas de cohésion et surtout pas de suivi dans les actions. A l’arrivée une année brouillonne qui, mal organisée, n’a pas eu les retombées prévues. C’est vraiment un beau gâchis.

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