Effacée à Marseille, Valérie Boyer tient à la ligne dure nationale
Secrétaire générale adjointe des Républicains et députée des quartiers est de Marseille, Valérie Boyer est une snipeuse médiatique de la droite mais est loin de faire l’unanimité sur le terrain. Troisième volet d’une série d'articles politique en partenariat avec Mediapart.
Valérie Boyer lors de sa rentrée politique le 20 septembre. (Photo : Violette Artaud)
Commentaires
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Belle éclairage sur le personnage. Merci
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Oui ,bon ?. Politicarde marseillaise moyenne et classique, qui se pense avoir un destin national et ayant un avis sur tout. Donc sur rien.
Fait sa tambouille avec les mêmes vieilles recettes: le club de boules, les communautés et les clubs de retraités.
Je subventionne et je brosse dans le sens du poil.
Ah oui , j’oubliais, c’est pas elle car au courant de rien.
Enfin quoi , l’élue marseillaise.
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Elle “mouille la chemise” bon d’accord mais de là à aller “dans les vestiaires de sport”…
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L’expression “cadre médicale” est maladroite , elle peut laisser croire que Valérie Boyer est médecin.
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Je découvre que c’était une fonctionnaire de la sécurité sociale.
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Fort intéressant. Malheureusement truffé de fautes de syntaxe et d’accord, vous avez sauté la relecture je pense…
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Je ne comprends pas tout de cet éclairage un peu soudain…..elle postulerait pour les futurs élections ????? je ne peux m’empêcher de penser que cet article lui donne beaucoup d’importance.
Qu’elle n’a pas forcément dans son-ses quartiers.
J’ai la “chance” d’y habiter dans le 12e. Oui, elle “mouille la chemise” mais pas n’importe où et pas avec n’importe qui et assez rarement….toutes les assoc du secteur n’ont pas l’heur de lui plaire et heureusement…. Et oui, elle laisse croire volontiers qu’elle est médecin, en tout cas elle entretient bien l’ambiguïté elle maîtrise bien le flou artistique en matière politique.
Oui, elle est très hautaine et arrogante, et apparaît plus souvent à la télé que dans son secteur, pour le plus grand plaisir des gens qui y habitent.
Alors, bon, c’est un portrait comme un autre, “antoine de meria” est très lucide sur son cas…pas mieux !
Alors pourquoi ?
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C’est notre Nadine à nous.
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Amusant de lire dans l’article consacré au nouvel hôpital de saint barnabe que ses remarques sont parvenues hors délai et n’ont donc pas été retenues…
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Une droite trés extrême ou les deux éléctorats se sont entendu, calinés, pour ne pas dire confondu, lors des législatives de 2017 ! LREM était largement en tête au 1ier tour le report des voix de l’extrême droite à été fatal au marcheur Chamassian anciend e la famille guériniste rompu à l’exercice, il était son concurent du 2ieme tour ! Voila la vérité sur Valérie Boyer c’est l’extrême droite qui parle pour les classes moyennes sur le sujet des détenus qui devraient payer une taxe d’habitation même point de vu que Dupont Aignan, cette femme de droite qui incarne des majorités succéssives qui ont totalement ruiné les classes moyennes! Considérer l’électorat comme des groupes communautaires c’est précisemment acter le clientélisme comme mode de pensée politique, d’ailleurs vous avez dit clientélisme, mais à quoi tien la politique générale à Marseille à laquelle à a si longtemps contribué ? Là encore bilan n’est pas à faire pour la snipeuse, comme ses confrères elle n’est responsable de rien ! Toutes ces années de pratique politique pour avouer n’être pour rien dans la le résultat de ces politiques, à ce niveau là c’est de l’art, l’art de l’enfumage sur fond de fracture sociale!
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Dans la première partie des années 2000, au début du second mandat de Jean-Clause Gaudin, la droite sur représentée dans les quartiers sud à commencé a déplacer ses jeunes pions de moindre importance pour s’implanter dans les quartiers nord. Démarche soutenue par une politique de peuplement en “tache d’huile” : donner des permis de construire pour des lotissements et des co-propriétés afin d’élargir l’électorat des noyaux villageois, face au bataillon d’électeur de gauche des cités HLM. Avant de réussir son implantation dans les 11eme et 12eme, Valérie Boyer a d’abord fait “ses classes” dans les 13eme et 14eme (fonction Richard Miron, lui aussi déplacé des quartiers sud, lui a succédé). Soutenue par Guy Tessier, son déplacement dans le 11eme 12eme est à la fois la marque d’un rapport de force au sein de la droite (le clan Tessier ayant montré sa force face aux divers clans Gaudin) et la récompense de son acharnement militant. Pour le reste, ce qui est dit au dessus est exact, c’est une sorte de Nadine Morano ou d’Eric Ciotti en jupon.
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