De la Maison hantée au stade Vélodrome, 30 ans d’histoire du hip-hop à Marseille
Retracer trois décennies de rap marseillais en 58 minutes ? C'est l'exercice auquel s'est prêtée l'équipe à l'origine du documentaire Marseille capitale rap diffusé ce samedi soir. En attendant, rencontre avec Didier D. Daarwin et Gilles Rof, les réalisateurs.
Plusieurs générations du rap marseillais ont été rassemblées par Jul dans l'album 13 organisés. (capture du clip "Bande organisée")
* Gilles Rof ainsi que 13 productions font partie des 72 actionnaires de Marsactu. En savoir plus sur le modèle économique de Marsactu ici.
Commentaires
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Mouais. Je ne suis pas sûre que la population de lecteurs et surtout commentateurs de Marsactu écoute ou aime le rap, mais 33% de la population française ayant moins de 30 ans, l’article peut intéresser sur les réseaux sociaux, vu que le bouche à oreille et les “like” c’est tout ce qu’ils ont l’attention pour écouter et c’est tout ce qu’ils lisent et encore.
Je trouve l’article intéressant et informatif. Personnellement, j’ai grandi en écoutant des artistes qui aimaient utiliser les accessoires y compris vestimentaires pour mettre en valeur leurs textes et musiques, de la couleur, une variation de thèmes et sujets, une certaine magie qui ne mettent pas les femmes plus bas que terre ou les traiter de putes, le voyage, la joie, la tristesse, le spectacle. Donc regarder des gens qui parlent du trafic de drogue dans les quartiers, ou de la misère permanente et du mal être, habillés pourris et sombres, dans des lieux qui ne font pas rêver, ce n’est pas mon kif. Je trouve que c’est une musique qu’on a enfoncé au forceps dans le crâne de nos enfants et qui a fini, à force d’être répétée au marteau, de prendre une place énorme. Je trouve aussi que les paroles de cette musique finissent par former une manière de penser chez les jeunes qui les pousse à voir le monde comme un verre à moitié vide, qui les maintient dans l’obscurité, qui ne donne pas envie de vivre et la joie. Tout est commercial, même ça. Certes de rares rappeurs font de la poésie, mais franchement, c’est parce que les gens qui les écoutent ne lisent aucun poète par ailleurs, sinon ils verraient ce que ça peut être. En tout cas, voici un article qui aura son public. Et un mouvement “social” qui a sa place et qui isole les couches générationnelles. Avec le COVID qui nous sépare d’office, je n’ai pas envie de supplément d’isolant.
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Pas très cool pour certains qui se donnent du mal pour faire vivre ce style dans lequel, c’est vrai, il y a pas mal de « déchets ». Mais pour moi qui suis de la génération Beatles, quand je reprends les vinyles de l’époque yéyé, il vaut mieux éviter d’écouter les paroles. C’est bien pour ça que les groupes anglais ont eu tant de succès. Le rap a peu d’intérêt sur le plan musical, bien que certains soient parvenus à intégrer un peu de saoul qui rendait le tout « commercial ». L’objectif principal, à mon avis, est de communiquer un sentiment comme ce fut pour le bleus à ses début : 3 accords qui rythment un texte relativement pauvre et répétitif. Donc, un peu de patience Jasmin et les poètes sortiront du lot.
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Ca manque de femmes…
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Musique machiste et totalement inaudible.
Difficile d’être une femme dans ce milieu.
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Alors certes, c’est un milieu mysogine et parfois bas du front, mais pour autant 90% de la production rock fm ou pop l’est aussi. Moi, je trouve cette reconnaissance de la scène rap locale plutôt positive, il y a quelque chose qui est de l’ordre de la lutte des
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Des classes dans le rap, pourquoi est-ce que l’industrie musicale devrait rester un domaine inaccessible aux classes populaires ?
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Des classes dans le rap, pourquoi est-ce que l’industrie musicale devrait rester un domaine inaccessible aux milieux populaires ?
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Pourquoi voulez-vous cantonner les milieux populaires comme vous dites à cette sorte de musique.?.Tout le reste est accessible sur la bande FM ou par le Web.
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Ou bien peut être appris, aussi..
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Finalement, un reportage plutôt bien fait qui retrace l’évolution du rap dans l’environnement marseillais. Comme certains je n’irais pas laisser entendre que Marseille est, sur ce plan, le « centre du monde » (ils se la jouent un peu dans le style « c’est nous qu’on est les plus beaux ») mais l’influence d’IAM a été primordiale dans ce style qui tient plus de la revendication que de la chansonnette sentimentale voire pamphlétaire.
Pas trop compris ce que Said Ahmada (macroniste de la première heure) vient faire là si ce n’est comme Ravier avec les lieux de culte, récupérer quelques voix dans la « chapelle » où il est né. Décidément, tous les filons sont bons à prendre.
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Peut-être n’est-ce pas assez clairement dit dans le reportage, mais il était un des Black Tiger Force… comme le rappelle son wikipédia :
« arrive à Marseille en 1973, son père ayant décidé d’y chercher du travail. La famille s’installe à la cité Félix-Piat, dans le 3e arrondissement, dans les quartiers Nord de Marseille. Il fait partie de la Black Tiger Force (BTF), un groupe de rappeurs locaux et il apparaît dans les premiers clips d’IAM ainsi que dans des reportages télévisés sur le hip-hop marseillais. ».
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. « Tu pues d’la gueule, t’as de l’herpès, y’a pas d’heure pour se faire plaiz’ avec un couscous merguez » Alkpote
“Ma b*te n’a pas d’oeil mais elle a du flair : tu pues du cul” Euh… Ok ?” Jul de Marseille , la nouvelle idole du rap marseillais . Une référence parait ‘il ?
“« J’ouvre une bouteille à chaque fois qu’ils ferment le cercueil d’un flic » – Kaaris
Vous en vouliez en voila de la poésie Jacques 89 et ce sont les moins , les moins quoi ?, je n’ai pas d’adjectifs à rajouter, je n’en trouve pas. C’est tellement pourri , tiens pourquoi pas, pourri c’est pas mal cela convient bien .
Vous parlez de sentiments quand on rédige ceci : « J’crache dans tes règles ça fait ketchup-mayo » – Orelsan.
Allez Jacques , faites moi une petite dissertation là dessus , vous avez deux heures.
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“Gare au goriiiiiiiiiiiiiiiiille!” a fait le même effet chez les catho il n’y a pas si longtemps. Comme quoi, il arrive que les poètes aient quelques moments de délire… pour notre plus grand plaisir.
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Jacques , le second degré est quelque fois pertinent , voire amusant ou cocasse ,
mais dans le cas précis qu’est le votre , je me pose la question .
“Gare au Gorille ” est un petit chef d’œuvre d’humour , de drôlerie , d’impertinence , d’irrespect et surtout sans aucune vulgarité , mais créer un cousinage avec vos “poètes” rappeurs qui ne sont que vulgarités et même au delà est particulier .De plus si des habitants de Marseille ne sont capables de produire que ce type d’objets cela est désolant.
Ce qui est encore plus désolant c’est que certains en soient fiers.Marseille capitale de la vulgarité, remarquez cela est mieux que rien. Après, si vous trouvez du plaisir avec JUL , c’est votre choix , tous les goûts sont dans la nature, même les plus surprenantes bizarreries.
Bedos avait une phrase pertinente sur la vulgarité :”La vulgarité, ça ne s’improvise pas. On est vulgaire. On naît vulgaire. C’est une infirmité de l’âme”. Cela convient bien dans le cas présent. Second degré Jacques.
Concernant les cathos , comme vous le dites , à la différence des gens pleins de préjugés , d’idées toutes faites ou préconçues , les cathos ont une très bonne blagounette pleine d’autodérision :”La faculté unique du chrétien ? Être “affranchi” sans être “timbré” pour autant.” Troisième degré Jacques .
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♫…que rigoureusement Bralaisse m’a défendu de nommer ici..♫
“Il est interdit d’interdire”: c’est mon principe. Chacun se fait son opinion et il n’est pire opinion que celle dictée par les convenances … ou “l’air du temps”. Les mots ne font pas de morts.
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Tout à fait d’accord avec vous Jacques .
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Si vous ne comprenez pas le rap désolé mais vous êtes devenus des vieux cons à l’image des darons des années 70 qui s’etranglaient devant le mouvement punk. Bonne journée les boomers!
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Oh minot ! Calme toi. Ce n’est pas de la compréhension mais une histoire de goût. Je n’ai jamais insulté qui que ce soit pour peu qu’on aime pas ce que j’écoute. Et puis ici on se respecte quand on n’est pas d’accord ok petit ? 😏
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Il n’y a rien à comprendre dans le rap .Logorrhée ordurière , vulgaire, machiste .Les punks ont disparus , bon débarras . Les prochains sont les rappeurs. Épiphénomènes saisonniers.
Après si cela vous plaît , c’est votre choix . Mais alors changez de pseudo , Demeter se caractérisait par sa recherche du travail et de la paix prenez plutôt celui de la déesse Gadhimai . Voyez les vieux cons ont encore un peu de savoir , à l’inverse de ces poètes du caniveaux
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