“Dans ma tête, il n’y a que le ballon” : les illusions perdues des recalés du football
Passés ou non par le centre de formation, ils sont légion dans Marseille et sa région à imaginer vivre de leur passion pour le ballon rond, sans y parvenir. Rencontre avec ces jeunes qui doivent rebondir après le désenchantement.
De jeunes joueurs de foot sur un terrain de Saint-Mauront. (Photo : Emilio Guzman)
Commentaires
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Bravo pour ce papier extrêmement juste
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Intéressant. Merci. Ce travail donne envie d’une suite dans quelques mois. Marseille semble avoir un tel potentiel de joueurs ; pourquoi si peu évoluent dans l’élite ?
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Il vaut mieux être recalé de la plonge en restaurant, la déception est moins grande.
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Merci. Vraiment
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Rêver au-dessus de ses moyens peut engendrer des dégâts
..
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Ce qui est intéressant aussi c’est devoir que le capital liberal à l’américaine génère cette mythologie du rêve et de la réussite, ” si tu veux tu peux”. Et la conséquence pathologique qui crée un déni du réel, et tous les errements et la violence qui peuvent en découler sur les personnes fragilisées.
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Tellement vrai, et on le voit partout dans la société
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Il y a beaucoup trop de fric dans ce sport. Les dépenses somptuaires des grands clubs et les salaires mirobolants de certains joueurs font rêver les gosses à cet eldorado. Dès le plus jeune âge (5 ans), les clubs de quartier et leurs entraîneurs “poussent” les gosses qui leur semblent prometteurs pour ne pas risquer de passer à côté d’une “pépite”. Le problème est qu’ils le font sans discernement, voire sans connaissance de la physiologie de l’enfant et ce sont trop souvent des blessures pouvant être graves plus tard qui arrêtent le processus. Trop de cas de gosses de 10/12 ans qui ne pourront plus jouer au foot même en mode ludique. Il y a une vraie question à se poser sur l’âge minimum autorisant les compétitions.
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Forza Boca la Plaine
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