Dans les hôpitaux de Marseille, on attend toujours le monde d’après
À l'occasion de la journée nationale de mobilisation des soignants, le personnel des hôpitaux de Marseille et sa région défilaient en nombre. Témoignages de soignants toujours en colère.
Défilé de soignants à Marseille pour la journée de mobilisation nationale le 16 juin 2020. Photo : Emilio Guzman.
Commentaires
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Une médaille, des remerciements le 14 juillet, un Segur, voilà des artifices qui ont pour seul objet de tenter de calmer l’impatience legitime des soignants et de laisser filer le temps. Après qu’ils aient seuls porté le poids des responsabilités, courus des risques en l’absence de protection en tous genres, voilà déjà venu le temps de l’oubli de leurs victoires, de l’irrespect pour les soignants et d’un mode d’accueil dégradé des patients dans les hôpitaux. Si comme en Chine une reprise de l’épidémie arrivait, je me demande bien aujourd’hui comment les français pourraient être pris en charge. Il est grand temps que le gouvernement prenne des décisions pour améliorer la condition de tous, soignants et patients en arrêtant cet enfumage par des mots,. Un passage aux actes rapidement est attendu non seulement des soignants mais des français qui leur apportent tout leur soutien, sans quoi le crédit confiance déjà bien entamé par ce gouvernement notamment dans sa gestion de la crise sanitaire, ne se résumera bientôt plus qu’à peau de chagrin.
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Il n’y a plus de confiance, d’ailleurs la confiance n’est pas une vertu politique. L’arrogance de ce gouvernement est abyssale.
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ce qu’on comprend en écoutant attentivement l’allocution de Macron, c’est qu’il a un projet de réforme de l’hopital : privatisation à fond, investissements du privé…
on se souvient avec effroi de la catastrophe de la construction de l’hopital Pompidou à Paris grâce à un PPP, le mal nommé partenariat public privé :
malfaçons multiples, surcoût énorme pour les finances publiques
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