Contre la pollution, à Marseille on a la dalle
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Si ça peut en plus aider à la propreté de la ville. C’est toute le Vieux port et la Canebière qu’ils auraient du faire. On a l’impression que la rénovation a été faite dans les années 80 vu l’état des trottoirs avec les chewing-gums et matières grasses !!
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La ville est de plus en plus sale, pauvre Marseille !
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L’ADEME a produit en 2011 une étude faisant le bilan des impacts des aménagements routiers (solutions anti”bruit, solutions spécifiques) sur la pollution atmosphérique dans laquelle on peut lire (page 25), les conclusions concernant l’efficacité des revêtements photocatalytiques :
” D’abord utilisés pour leurs propriétés autonettoyantes, les revêtements photocatalytiques (en général à base de dioxyde de titane, qui joue le rôle de catalyseur) s’avèrent aussi capables, sous l’action de la lumière, de dégrader les oxydes d’azote. Des enduits ont ainsi été appliqués ici ou là sur les chaussées ou sur les murs.
− concernant les murs, aucune efficacité n’a été démontrée (ou une efficacité quasi”nulle) en situation réelle alors que tous les tests en laboratoire se révélaient efficaces, selon les méthodes de mesure de 0,5 à 90 %.
− concernant les chaussées, les résultats des expérimentations sur sites réels sont partagés et semblent dépendre des conditions météorologiques et du niveau de pollution avec un intérêt éventuel lors de pics de pollution (40 % de réduction des concentrations). Les tests en laboratoire indiquent une réduction des NOx entre 2
0 et 100 % selon les méthodes de mesure. Un nettoyage intensif, avec brossage de la chaussée, semble être nécessaire pour éviter l’encrassement. ”
source : http://www.buldair.org/sites/default/files/Rapport-ADEME_Impact-amenagements-routiers-sur-QA_avril2013.pdf
Conclusion : encore une fois, il faut privilégier la réduction à la source des nuisances et des pollutions. Il en va de même pour l’énergie où l’énergie la moins chère est celle qu’on ne consomme pas.
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Une seule chose est certaine, il n’y a pas mieux que les arbres comme usine à dépolluer.
Pourtant dans un secteur où il y a 1 arbre pour 1000 habitants, 90 % de notre Amazonie a été défrichée pour laisser place au béton.
Le jour où l’on se décidera à admettre leur utilité des arbres, il n’y en aura plus un seul ou plus de place pour les planter.
Nous allons vers l’ère du végétal plastifié…… dans l’efficacité sur la pollution n’est pas démontrée !!!!!!
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“Marseille est l’une des quatre villes françaises a avoir passé le pas”. Qui est Marseille en la circonstance ?
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Contre la pollution, à Marseille, on pourrait aussi avoir des espaces verts. Mais la ville n’est quasiment pas citée dans le “palmarès des villes les plus vertes” publié récemment par l’organisation professionnelles des entreprises du paysage : http://www.entreprisesdupaysage.org/document/telechargerDocument.php?id=26829_56862
Dé-densifier et verdir un peu, plutôt que tout bétonner (même avec du béton “dépolluant”) est aussi une solution, déjà pratiquée ailleurs…
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