Série d'été
Alors la zone ?
Cabriès, la vie de village provençal dans l’ombre de Plan-de-Campagne
[ALORS LA ZONE ? - 2/5] Pour le nouvel épisode de cette série d'été, Marsactu s’évade sur le piton rocheux de Cabriès, une des deux villes sur lesquelles s'étend la zone commerciale. Où le calme règne, parfois trop pour certains, même si des habitants travaillent à recréer du lien.
Dans le centre-ville de Cabriès, l'ambiance est très calme en été. (Photo : ML)
Commentaires
Rejoignez-la communauté Marsactu pour, vous aussi, contribuer au débat local.
Découvrez nos offres
ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Il n’ya que des touristes et… une journaliste pour visiter un village provençal en début d’après-midi en plein été ! Pour rencontrer des habitants, il faut passer le matin, ou bien en fin de journée, pas à l’heure de la sieste quand il fait chaud 🙂
Ceci dit, tous ces villages entre Aix et Marseille sont des villages-dortoirs typiques du periurbain. Chacun dans sa maison, son jardin, sa voiture…
Des associations, des maisons d’activités municipales, des bibliothèques, ou clubs sportifs, animent parfois la vie de village, mais ça on ne peut le voir au cœur de l’été.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Merci Marie pour cette série, et ici d’avoir pris le temps d’aller au-delà du vide des rues, qui n’est effectivement pas forcément un problème en soi. Au moins il y a toujours des habitants, des commerces du quotidien, et même une asso qui a l’air de fonctionner (même si comme beaucoup elle a surtout l’air de faire un boulot qui à une époque faisait plutôt partie de celui d’une commune).
+ Apparemment il y a aussi un kiosque à pain qui vend à Cabriès (à côté du bus) ET à Plan de Campagne et qui a l’air de s’en sortir. Est-ce que Wahid ne va un peu vite en besogne dans son “analyse” de “tant pis pour eux s’ils préfèrent manger du pain industriel” ? https://www.lepainlevain.fr/
Se connecter pour écrire un commentaire.