Un hôtel social échappe in extremis à l’expropriation par Marseille habitat
L’histoire rocambolesque, racontée par La Marseillaise, se tient au 37, rue d’Aubagne. Le bras armé de la Ville en matière d’habitat indigne, Marseille habitat, a failli exproprier un hôtel social destiné à l’hébergement d’urgence. La procédure est allée jusqu’à faire l’objet d’une enquête publique. À l’issue, constatant l’usage des lieux, le commissaire-enquêteur n’a pu que rendre un avis défavorable à la demande de Marseille habitat et a fait capoter l’opération.
Longtemps en péril, l’immeuble ne l’était plus depuis 2021 sur décision des services municipaux. “Les conditions de coordination indispensables n’ont pas été favorablement réunies, de sorte que l’arrêté de réouverture n’a pas été porté à notre connaissance”, s’est péniblement justifié le satellite de la mairie auprès du quotidien pour expliquer son erreur.
Source : La Marseillaise
J’aime bien le “satellite” municipal… Jean Gabin : “Quand les c… seront sur orbite, ils n’auront pas fini de tourner”…
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Tu m’étonnes que les pontes de l’administration municipale se fassent la malle en file indienne. C’est plus le PS mais c’est déjà un joli petit bordel.
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“Les conditions de coordination indispensables n’ont pas été favorablement réunies, de sorte que l’arrêté de réouverture n’a pas été porté à notre connaissance”
Traduction de ce piteux jargon bureaucratique:
« C‘est le foutoir partout, alors zébi ! »
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Cher Marsactu, je ne peux que vous inciter à fouiller cette histoire. Par exemple en trouvant le nom du promoteur qui s’était engagé auprès de Marseille Habitat à acheter le bâtiment en l’état pour y faire son opération immobilière.
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