Un an après le drame de la rue Tivoli, un hommage silencieux aux huit victimes

Mémoire
Bref
le 8 Avr 2024
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Un an après le drame de la rue Tivoli, où l’immeuble situé au numéro 17 a été emporté dans une explosion de gaz, un hommage silencieux est prévu ce mardi 9 avril. Le rendez-vous est donné par les habitants du quartier à 10h45, au croisement du boulevard Eugène-Pierre et de la rue Jaubert. Il n’est pas prévu de discours officiel, mais un moment solennel pour que “la mémoire des victimes perdure”, confient des habitants à La Provence.

Le 9 avril 2023, l’effondrement du 17, rue Tivoli a causé la mort de huit de ses occupants. Un an plus tard, 55 foyers n’ont toujours pas pu réintégrer leurs logements, situés dans le périmètre de sécurité. Ces habitants attendent également la mise en place d’un accord-cadre pour uniformiser leurs démarches auprès de leurs assurances.

Source : La Provence
Clara Martot Bacry

Commentaires

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  1. Alaindu5 Alaindu5

    Bonjour, les assurances qui ne jouent pas le jeu, la ville qui s’était un peu trop avancée sur ce qu’elle était en capacité de faire faire, et surtout la non prise en considération des victimes face aux vols et dégâts perpétrés par l’entreprise missionnée par le ville. C’est sûr que face aux désarroi des familles endeuillées, cela n’est que matériel. Mais il est quand même difficile de constater que des gens ont pu s’enrichir sur le compte des victimes en ne pas respectant le peu qu’il leur restait.

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    • Malleus Maleficarum Malleus Maleficarum

      Je confirme vos dires, ayant un collaborateur directement concerné : outre le traumatisme du sinistre, il doit vivre avec le fait que les entreprises mandatées par la Ville pour des interventions d’urgence ont pillé son appartement (un effondrement du bâtiment d’à-côté ça ne fait pas s’évaporer des vêtements, ni tout un tout tas d’objets personnels), qu’elles ont travaillé sans être suivi par leur maître d’ouvrage qui n’a respecté aucune règle de commande publique.

      Résultat : le choc, les vols, les sur-dégradations (travail de chiapacan évidemment), et cerise sur le gâteau le contentieux que cela génère avec l’assureur donc l’impossibilité d’engager les travaux de réparations pour rentrer chez lui.

      Et pendant ce temps, la municipalité vient verser des larmes de crocodiles avant de retourner prendre l’apéro autour de la piscine super-légale de Samia au Roucas Blanc. Glorieux.

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  2. Alaindu5 Alaindu5

    Bonjour, @Mars, et yeah, J’ai informé de ce sujet beaucoup de média, mais comme par enchantement, à chaque fois cet aspect est enlevé de l’interview. Même ici, j’ai alerté plusieurs fois ce média, mais rien n’y fait, aucune mention à l’encontre de l’entreprise délictueuse ni de son donneur d’ordre. Cela ferait peut-être tache sur le costume du Maire. Mais à un moment, même lui ne peut pas tout superviser, et s’il doit dénoncer une entreprise qui comporte des voleurs en son sein, il faut qu’il le dise. A ne pas en parler, on finit par croire qu’il est responsable, alors que pas du tout! C’est bien l’entreprise qui l’est!!! Mais pourquoi même @MARSACTU ne le dit pas?

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