Transfert de patients marseillais atteints du Covid-19 vers un hôpital en Bretagne
Deux patients marseillais infectés par le coronavirus sont en cours de transfert vers l’hôpital de Saint-Brieuc, en Bretagne, selon le quotidien régional breton Le Télégramme. Une information qui témoigne du niveau de saturation des services de réanimation hôpitaux de l’AP-HM. Selon La Provence, d’autres patients hospitalisés dans les différents hôpitaux de la ville devraient être évacués dans les prochains jours vers l’Occitanie.
Source : Le TélégrammeCommentaires
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Une question : et le privé à Marseille ?
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Si l’hôpital public n’avait pas été systématiquement démantelé, il ne serait pas nécessaire de transférer les malades dans les hôpitaux qui ne sont pas encore saturés. Rappelons que la France compte très peu de lits de réanimation pour ses 66 millions d’habitants ; là est le scandale.
La dépêche du 10/10/2020 écrit :
“Selon le ministère des Solidarités et de la Santé, “le système de santé est passé de 5 085 lits avant la crise Covid à 5 800 lits pérennes, installés et équipés (en ressources humaines et en matériels) pour accueillir des patients Covid et non Covid”. Plus de 10 000 lits ont été installés au début du mois d’avril, en pleine vague de coronavirus, et “les capacités maximales de réanimation peuvent être étendues à 12 000 lits.”
Mais au delà de ces chiffres, tout l’enjeu pour les hôpitaux est de ne pas dépasser le seuil critique de 30 % de la capacité d’accueil totale pour les malades du Covid-19″.
De plus, les transferts ainsi opérés sont un coût supplémentaire pour les hôpitaux et ne règlent en rien la situation catastrophique, résultat d’une gestion qui ne fait aucune place à la véritable prévention (renforcer les défenses immunitaires des personnes) mais mise tout sur le curatif lourd et une vaccination qui n’a pas fait ses preuves (où est le principe de précaution ?).
L’état d’urgence sanitaire permet aux gouvernants de nous priver de nos libertés fondamentales, de détruire la Sécu, l’économie, l’avenir de nos Jeunes qui sont les forces vives de la Nation, de nous maintenir dans la peur qui tétanise bon nombre d’entre nous et de nous diviser (les pour et les contre le confinement, la vaccination,…). Pendant que nous parlons du COVID, ils passent en force ou pas d’ailleurs, la casse des principes fondamentaux de la République : Liberté Egalité Fraternité et de la démocratie : tous les pouvoirs entre les mains de l’exécutif et pas n’importe lequel : le conseil de défense et de sécurité nationale qui rassemble : le chef de l’Etat, le Premier ministre, les ministres concernés, des directeurs d’administration, des chefs militaires et des conseillers de l’Elysée. Les ministres de la Santé Olivier Véran et de l’Intérieur Gérald Darmanin, ainsi que le directeur général de la Santé Jérôme Salomon, participent à toutes les réunions Covid.
Macron met en scène une guerre contre ses concitoyens et la guerre civile pourrait advenir,…
En attendant, les mesures prises tuent tout aussi sûrement que lors de la Grande Guerre, une jeunesse sacrifiée sur l’autel des enjeux financiers d’une caste dominante qui envoie le “petit peuple” s’entretuer pour la défense de ses seuls intérêts. Certes aujourd’hui, elle tue sans artillerie mais tout aussi massivement et dans l’indifférence du plus grand nombre, sous couvert d’une pandémie qui ne tue pas plus que les années où la grippe saisonnière sévit, en silence.
Aujourd’hui, “je fermerai la porte au nez des années mortes”,…
Je n’ai plus, comme beaucoup, d’avenir puisqu’il m’a été confisqué, puisque les plaisirs simples de la vie me sont interdits, comme : retrouver ma famille, mes amis, contempler la nature (qui d’ailleurs se délite), aller au théâtre, au cinéma,… enfin toute activité qui fait de nous des êtres doués de raison),…
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Quand je suis sur la page d’accueil des commentaires c’est votre nom et votre prénom qui apparaissent et sur l’article même c’est votre pseudo Mamette qui est écrit….
Y a pas un souci là ? Je l’ai déjà signalé car ce n’est pas la première fois.
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« Si l’hôpital public n’avait pas été systématiquement démantelé, il ne serait pas nécessaire de transférer les malades dans les hôpitaux qui ne sont pas encore saturés. Rappelons que la France compte très peu de lits de réanimation pour ses 66 millions d’habitants ; là est le scandale.
La dépêche du 10/10/2020 écrit :
“Selon le ministère des Solidarités et de la Santé, “le système de santé est passé de 5 085 lits avant la crise Covid à 5 800 lits pérennes, installés et équipés (en ressources humaines et en matériels) pour accueillir des patients Covid et non Covid”. Plus de 10 000 lits ont été installés au début du mois d’avril, en pleine vague de coronavirus, et “les capacités maximales de réanimation peuvent être étendues à 12 000 lits.”
Vous souhaitez qu’en dehors de la pandémie covid, on ait 10/12.000 lits dont la moitié de vide ?
Très facile de critiquer ceux qui essaient d’économiser pour réduire les impôts ou la dette…
Réjouissez-vous plutôt d’un système de santé à bout de souffle, et de ses cadres qui ont su en quelques semaines, plus que doubler sa capacité d’accueil en réanimation.
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Et là privé , que fait-il ?
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le 21 on transportait des patients de Grasse à Marseille
le 29 on transportait des patients de Marseille à ST Brieuc
on comprend pourquoi en plus de ses énarques et polytechniciens l’État a eu recourt à 4 agences extérieure dont une américaine
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Transmettez moi svp vos coordonnées, je vais les adresser aux « énarques », vous avez l’air de maîtriser beaucoup mieux le sujet qu’eux.
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Mamette faut un peu vous détendre, regardez vous un de Funès ou un Benny Hill. Mamette qui nous compare les jeunes d’aujourd’hui et ceux de la Grande Guerre , les gars qui ont fait la guerre d’Algérie si ils vous lisent, 24 mois ou 36 mois dans ce merdier doivent apprécier.
Une question , vu le niveau de privation de liberté quevous évoquez,vous êtes au moins à la prison des Baumettes
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Pierre désolé de vous avoir vexé les énarques ne sont pas tous nuls
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