Le parc national des Calanques rouvre, mais “en mode quiétude”

Silence
Bref
le 2 Juin 2020
2
C
C'est dans le parc national des calanques que les daurades royales se reproduisent.

C'est dans le parc national des calanques que les daurades royales se reproduisent.

Dans les calanques, l’heure du déconfinement est enfin arrivée. Ce mardi 2 juin, les promeneurs sont de nouveau autorisés à emprunter les sentiers du parc national. “L’ensemble des activités sportives individuelles terrestres et maritimes ou en petits groupes de moins de 10 personnes sont autorisées”, indique le parc sur son site. Il tient néanmoins à attirer l’attention des randonneurs sur la nécessité de revenir “en mode quiétude” pour limiter l’impact sur la faune (lire notre article sur les craintes des scientifiques). Parmi les consignes des autorités, “rester sur les sentiers autorisés”, veiller, à terre comme en mer, “à être les plus discrets possible pour profiter des sons de la nature et permettre à la biodiversité de se reposer sur ses deux oreilles” ou encore se tenir “à distance de la faune sauvage”.

Un appel à la vigilance à mettre en résonance avec la surfréquentation des massifs de la Sainte-Victoire, ouverts aux promeneurs depuis le 11 mai. Dans le journal La Provence, les responsables s’alarment des conséquences, pour la faune, d’un retour en masse des visiteurs.

Clément Gahéry

Commentaires

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  1. petitvelo petitvelo

    peur des randonneurs ou des groupes avec chiens, musique, bateau moteur, pack de bière, cigarette… C’est toute l’année qu’il faudrait calmer une partie de la “masse”

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  2. LN LN

    Aaaah le mode “quietude”… Quel clown ce Réault ; lui, il est toujours en mode “pipeau”
    Comme dit petitvelo, la masse est bien revenue pour en profiter et on peut le comprendre.
    Y a même un catamaran qui reprend ses activités festives à coup de pub intempestive pour attirer le teufeur. On voit bien le truc : musique, alcool et fumette on board et quiétude dans tout le secteur.
    Allez, on va attendre sagement le mois d’octobre et on découvrira les dégâts… comme chaque année

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