La métropole sommée de stopper des déversements d’eaux usées dans l’Huveaune
L'Huveaune. Image d'illustration.
Les rejets proviennent du déversoir des Escourtines, où coule l’eau de pluie, à la limite entre la Penne-sur-Huveaune et Marseille. Dans un arrêté publié le 22 septembre, la préfecture met en demeure la métropole Aix-Marseille de stopper ces déversements, note La Provence dans son édition de ce lundi. Les services de l’État enjoignent la collectivité à réaliser un diagnostic “des impacts des déversements d’eaux usées brutes dans l’Huveaune et de proposer des actions de réhabilitation visant à redonner à ce cours d’eau son état initial”.
La métropole devra également, dans un délai d’un mois, procéder “au nettoyage des dépôts bactériens.” Tout comme cette dernière, la société publique Eaux des collines et le Service d’assainissement Marseille Métropole (Seramm) écope des mêmes mises en demeure.
Source : La Provence
Commentaires
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Pour paraphraser Gorki, ces gens là, hors mis d’êtres inutiles sont nuisibles.
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Parfait ! Ça c’est fait.
Maintenant il va falloir suivre l’affaire.
Parce que les responsables irresponsables de la métropole vont encore nous dire “c’est compliqué”. Et mettre 10 ans pour se conformer aux règles et aux lois.
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Comptez là-dessus et buvez de l’eau (fraîche ou claire) mais dans tous les cas, pas celle de l’Huveaune car à la vue du traitement effectué par la SERAMM il vaut mieux de l’eau cachetée.
Mais en y pensant la Métropole est responsable des transports et de l’eau.
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Des transports, de l’eau ET de la qualité de l’air (cf article de Marsactu). En paraphrasant la chute d’une histoire marseillaise célèbre: “M’en fouti, séiu d’Auriou!” Je m’en fous, je suis d’Auriol (ou de Callas, ou d’Aix, ou de Carry, ou de n’importe où mais pas de Marseille).
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Voilà le résultat de cette double incompétence associée, un massacre.
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Ce n’est pas une histoire marseillaise mais est racontée par Jean Aycard dans Maurin des Maures. Le curé de Gonfaron -oui,le pays où même les ânes volent- admonestait ses paroissiens en chaire en leur promettant tous les tourments de l’enfer car ils n’étaient pas très assidus à l’Office. C’est à cemoment qu’un quidam a balancé sa repartie qui depuis est devenue une locution courante même si il n’y a plus grand monde pour en connaître l’origine -n’y voyez aucune malice, seulement le privilège de l’âge et d’une mémoire pas trop abîmée.
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Cher Jacques, je vous félicite pour votre mémoire pas trop abîmée malgré votre âge. Jean Aycard (1848-1921) a recyclé, en 1908, cette vieille histoire transmise oralement attestée en 1822 dans “Lou predicatour encala” (le prédicateur embêté) de Pierre Bellot (1783-1855). https://vousvoyezletopo.home.blog/2011/09/03/je-suis-dauriol/
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Par contre, je vous conseille une jolie petite balade le long de l’Huveaune (et vous serez étonnés). Le départ est à La Rose, sous le pont de la rocade qui mène aux Martégaux et aux Olives. Prenez la rue qui prend au premier rond-point. On peut garer vers l’Huveaune.
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C’est vrai… mais c’est le Jarret qui coule là.
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Diantre!. J’étais tellement obnubilé par cette histoire d’Huveaune que j’en ai oublié le Jarret. Toutes mes excuses mais ma proposition est toujours valable (pour le Jarret, bien sûr).
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Dans la revue de propagande départementale “accents” ça déborder de comm’ verte : il faudrait que la présidente du département explique à la présidente de la métropole comment faire pour aider aussi les provençaux marseillais à vivre au vert …
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