Atmosud affine son évaluation de la qualité de l’air
Dans la région, la qualité de l’air est mesurée par Atmosud. Ce mardi l’association indépendante a présenté lors d’une conférence de presse un nouvel indicateur “plus précis” accessible à tous, baptisé “ICAIRh”. Deux nouveautés : les polluants sont additionnés et une prévision heure par heure est proposée sur le site internet d’Atmosud.
Techniquement ces nouveautés influent la manière de calculer la qualité de l’air. Jusqu’à présent le polluant majoritaire à un instant T, souvent l’ozone, était le seul à être pris en compte dans les cartes disponibles. “Mais on ne respire pas qu’un seul polluant, on les respire tous”, rappelle Stephan Castel, responsable du pôle innovation chez Atmosud. Les données publiées seront donc plus fidèles à la réalité de la qualité de l’air.
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Je suis allé sur le site d’Atmosud, par le lien inclus dans l’article de Marsactu. Si je peux me permettre, c’est plein de bug … Ou alors j’ai pas compris, mais franchement, c’est quand même “old school” leur interface cartographique, et leur “expérience utilisateur”, comme on dit maintenant.
Si ils lisent ces lignes, ça leur fera une remonté. Cette info étant passée, félicitations à eux pour ce travail de collecte et d’information !
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Et moi j’en suis à mon deuxième capteur D’iams prêté par ce “machin” (https://www.airdiams.eu/ ; je copie du De Gaulle mais je n’ai pas trouvé mieux) auquel contribue Atmosud et la métropole.
Le premier n’enregistrait que de 1 à 30 secondes (plus souvent une) puis se déconnectait, le deuxième tient 30 secondes mais rarement plus d’une minute. Comme on n’ a pas que ça à faire : le reconnecter 60 fois par heure, on laisse tomber.
Alors le contrôle de l’atmosphère … Il semble bien qu’il y a beaucoup de monde pour faire semblant de s’y intéresser.
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