“Balance ton bar” Aix et Marseille : la vague de témoignages qui bouscule les gérants
Depuis bientôt deux ans, ces comptes Instagram recueillent et publient anonymement les témoignages de victimes droguées à leur insu. Des messages qui obligent les établissements à réagir.
Vue de terrasses aixoises un soir de janvier. Photo d'illustration ABF.
Commentaires
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Quelle horreur ! Comment des hommes peuvent-ils agir ainsi : préméditation, dissimulation, agression…probablement sans reconnaître l’extrême gravité de leurs actes ? Comment est-ce possible si ce n’est par la permanence, même résiduelle, d’une culture du viol dans notre société ? C’est-à-dire que nous- les hommes-avons grandi avec des représentations où l’imposition d’un acte sexuel à une femme est culturellement acceptable, parfois même valorisé, même s’il est par ailleurs condamné. Nous n’avons pas fini de nous civiliser, comme société et comme individus, merci et bravo aux militantes féministes de nous y pousser !
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” “coûtent une fortune”, environ un euro par verre. ” Pauvres exploitants de débit de boissons, ils gagnent vraiment peu d’argent…Ils rendent service en fait…
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“Je serais bien contente de me débarrasser d’un barman qui agit mal…”
bonjour la mentalité!
et d’ailleurs, y a vraiment des cas où ce sont les barmans qui mettent du ghb dans les verres? Ils ont pas autre chose à faire? c’est pas une question rhétorique, hein: je n’ai aucune idée de qui sont ces potentiels prédateurs.
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” “Avec le Covid ça a été compliqué pour nous de travailler ces deux dernières années. Alors si en plus des féministes se mettent à raconter des horreurs sur nos établissements…” s’énerve Philippe, l’un des deux gérants de l’Exit café à Marseille.”
Donc là au moins c’est clair, le patron de l’Exit est bien moins en colère contre les violeurs que contre les meufs qui s’entraident et se protègent. Vraiment quel bar de merde…
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Moi aussi, j’ai été choqué par cette phrase complètement stupide. Il ne s’agit pas de féministes (ce qui, en soi, n’est d’ailleurs pas une tare !) mais d’abord de victimes d’agressions, il ne s’agit pas de “raconter des horreurs” mais de dénoncer ces agressions. C’est si facile de refuser d’écouter les victimes, voire de les rendre responsables d
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… de leur sort, c’est si facile de refuser de prendre ses responsabilités ! Le covid n’est certainement pas une excuse pour ne rien faire, pas plus que le prix de la protection des femmes qui fréquentent ces bars.
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Bar de merde peut être mais gérant très con, surement, après l’un va avec l’autre aussi. Boycott
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Et plus loin , ” je veux le détruire, ce lec” c’est tout un vocabulaire hallucinant !
Ca révèle quand même dans les mots la psyché de ces personnes…on a du mal acroire à son innocence
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Et sa terrasse a tellement envahi le trottoir, que le piéton a du mal à passer quand il ne se fait pas engueuler par un serveur trop pressé de gicler le non consommateur empiétant sur l’ espace public qu’il a privatisé :-\
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Alors si en plus des féministes se mettent à raconter des horreurs sur nos établissements…
Je vais bien garder en tête le nom de ce bar, pour ne pas y mettre les pieds. Si ne pas vouloir se faire violer ou agresser c’est être féministe, alors banco, je le suis. Sinon sortir un truc aussi stupide c’est quoi ? être con ? abruti ? antiféministe ?
C’est l’air de Marseille qui rend “zguégue” où sont ils tous attirés par la région ?
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Le patron de bar marseillais dans toute sa splendeur.
Pour répondre à votre question, nous avons ici une espèce endémique à la région ,le gros con.Chaine en or autour du cou, main sur le volant avec la moquette ,tu es fada je crains dégun, je vous prends tous ici, un par un !
N’est pas César qui veut !
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Déjà il y a 10 ans, le Mistral était tristement célèbre pour ses histoires d’étudiantes droguées au GHB…
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