Au tribunal, le procès d’un policier déjà mis en examen pour violences durant les émeutes
Le tribunal juge ce vendredi un policier de la BAC centre de Marseille pour "violences volontaires" sur un jeune homme. L'agent est aussi mis en cause dans l'affaire Hedi, du nom du jeune homme grièvement blessé à la tête lors des émeutes de 2023.
La préfecture de police, à Marseille. (Photo : CMB)
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
C’est dommage que les collègues et la hiérarchie de cet agent ne soient pas inquiétés. Vu le nombre de “pas vu, pas pris” qu’on devine, il y a comme un défaut du système.
Se connecter pour écrire un commentaire.
ce qui et dommage surtout, c’est que ce genre de personnage, largement repéré pour faits de violence, puisse envisager une carrière dans les “FDO”, les bien nommées…..
c’est à cause de gens comme ça, que la confiance envers les policiers est rompue…on ne sait jamais si on ne va pas tomber sur un surexcité du coup de poing…..
Se connecter pour écrire un commentaire.
L’étudiant l’aurait insulté? Et alors??
Se connecter pour écrire un commentaire.
sans commentaire
https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/aly-diouara-pris-a-partie-apres-un-controle-au-facies-lfi-denonce-les-menaces-des-policiers_246826.html
Se connecter pour écrire un commentaire.
il y a 7 ans Mme Zineb REDOUANE ” Peu avant 19 h13, le cortège passe devant le 12 rue des Feuillants, à l’angle de la Canebière, où Zineb Redouane est rentrée chez elle à 16 h 15, après avoir passé l’après-midi en compagnie de son amie Imen Souames3. Alors qu’elle ferme ses volets pour se protéger des gaz lacrymogènes et de la fumée, elle reçoit un tir de grenade lacrymogène au visage vers 19 h 0514. Deux capsules de dix grammes de gaz lacrymogène sont retrouvées chez elle, provenant d’un tir de lance-grenades MP7 (WIKIPEDIA) Où en est le dossier ?
Se connecter pour écrire un commentaire.
Je ne comprends pas ce que deux agents de la BAC, en civil mais en gilet barre-balle faisaient dans la rue Armény à hauteur de la préfecture de police dont l’entrée donnant sur la place de la Préfecture est gardée par des policiers en uniforme. D’autant plus que l’accès au périmètre de sécurité de la préfecture est limité par l’entrée du parking et des barrières de sécurité.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Merci bien
Se connecter pour écrire un commentaire.
+1
Se connecter pour écrire un commentaire.