Un atlas partagé pour dénoncer la disparition des terres agricoles dans les Bouches-du-Rhône
Protéger les terres agricoles est un objectif partagé par les associations, les services de l’État et les collectivités. La réalité des politiques publiques est plus gourmande en sols agraires. C'est ce qu'entendent prouver une vingtaine d'associations en publiant un "répertoire des terres agricoles en danger".
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La langue de bois des autorités est toujours aussi condamnable au moment où toute l’agriculture française est en péril. En cette époque de multiplication des suicides et des faillites des petits exploitants agricoles et au lieu de tout faire pour arrêter l’hémorragie des terres arables, le béton demeure maître. En particulier, dans notre Provence aride et rocailleuse où il faudrait défendre chaque arpent cultivable. Les Bucco-rhodaniens comprennent bien que leur département est bien attirant et où il fait très bon vivre lorsqu’on en a les moyens, mais ils veulent tout de même pouvoir continuer à y habiter sans la main-mise des politiciens véreux ou incompétents et les promoteurs immobiliers cupides.
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à mimet il y avait une parcelle communale issue d’un legs sous condition dans les années 20, d’une terre de près de 20 000m² cultivée de blé dur, puis de lavandes jusqu’au naufrage local, située en zone NB ( à 4 000m² où les lotissements de toute nature étaient interdits) sans respecter la procédure d’erreur manifeste, l’équipe aux affaires à vendu 4 parcelles,de 4 000 m² puis une plus récemment de 4 000m². la motivation est la terreur irraisonnée et maladive que des logements se fassent sur cette parcelle communale – terreur jusqu’à déclarer qu’il y avait eu un projet de 200 logements; qu’est-ce qu’il disait machin: “plus un mensonge est gros …” cette zone n’existe donc plus mais on continue à dire qu’on augmente les zones de campagne (celle qui ont été construites) et les zones agricoles et ça passe
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