Marseille à Cœur : Un projet pour une ville malade ou une initiative parmi tant d’autres ?
Marseille à Cœur : Un projet pour une ville malade ou une initiative parmi tant d’autres ?
La ville de Marseille semble être devenue le théâtre de multiples initiatives politiques, chacune proposant sa vision de l’avenir pour une cité en quête de renouveau. Parmi elles, “Marseille à Cœur”, dirigée par Frédéric Collart, se distingue par son ambition de rassembler les forces politiques locales, de la droite responsable à une gauche raisonnable. Mais dans un contexte où les tentatives de rapprochement se multiplient, cette initiative parviendra-t-elle à réellement s’imposer ou finira-t-elle noyée dans la cacophonie d’une campagne pour les municipales de 2026 qui ne dit pas encore son nom ?
Frédéric Collart : Le médecin au chevet de Marseille ?
Frédéric Collart, médecin belge installé à Marseille depuis plus de trente ans, a fait le choix d’ancrer son projet politique dans la ville qu’il considère comme sa patrie d’adoption. Le ton est donné dès le début : Marseille, à l’instar d’un patient gravement malade, aurait besoin d’être soignée. Un médecin, et pas n’importe lequel, pourrait bien être l’homme de la situation pour remettre la ville sur pied. Pourtant, au-delà des métaphores médicales, ce dont Marseille semble avant tout avoir besoin, ce sont des dirigeants honnêtes, compétents et résolument attachés à l’intérêt général. Le mal qui ronge la ville ne se limite pas à des symptômes visibles mais plonge bien plus profondément dans les fractures sociales et économiques qui gangrènent le quotidien des Marseillais.
Une initiative sans ténors politiques
La soirée de lancement de “Marseille à Cœur” a rassemblé une pluralité de personnalités issues de divers horizons : médecins, sportifs, syndicalistes et responsables associatifs. Tous ont témoigné de leur engagement à l’égard de la ville et de leur volonté de contribuer à un projet commun. Cependant, un détail notable a marqué l’événement : aucun ténor politique n’était présent. Si l’initiative se veut rassembleuse, elle semble pour l’instant peiner à attirer les figures de proue des différents camps politiques, pourtant essentiels à un tel projet. Collart, dans son discours, n’a pas caché son ambition de faire converger les efforts de la droite, du centre, et même d’une partie de la gauche, mais il reste à voir si cette unité pourra réellement se concrétiser sans l’appui des leaders politiques marseillais.
La campagne de 2026 a déjà commencé
Depuis le début du mois de septembre, Marseille a vu naître une multitude de mouvements similaires. Tous partagent un point commun : ils visent à se positionner comme une alternative à l’actuelle municipalité. Les critiques à l’égard du maire en place, Benoît Payan, sont omniprésentes, souvent accompagnées d’un appel à se rassembler pour redonner à Marseille la place qu’elle mérite. “Marseille mérite tellement mieux,” a répété Frédéric Collart. Son diagnostic de la ville est implacable : elle ne rayonne plus comme dans les années 90. La fracture sociale entre le nord et le sud s’est creusée, la ville manque cruellement d’un cap économique et d’ambition environnementale, et les services municipaux ne sont plus à la hauteur des attentes.
Rassembler pour dépasser les clivages
“Le plus important est d’être pour Marseille”, martèle Collart. Il en appelle à une rupture avec les pratiques politiques du passé : le copinage, le clientélisme, et le dogmatisme qui, selon lui, ont étouffé la ville pendant des décennies. La solution ? Un projet collectif, fédérateur, qui s’appuie sur l’engagement citoyen et des contributions venant de tous les secteurs de la société civile. “Marseille à Cœur” mise sur une démarche participative, où des groupes de travail se penchent sur quinze thématiques clés : sécurité, logement, action sociale, écoles, gouvernance, finance, culture, propreté, développement économique, et plus encore. Une synthèse des propositions, sous forme de livre blanc, est attendue pour le printemps prochain, suivie par des États généraux de Marseille à Cœur. Un calendrier ambitieux, mais est-ce suffisant pour convaincre dans une ville où les egos et les rivalités politiques sont souvent des obstacles insurmontables ?
Le triptyque de Collart : Justice sociale, sécurité, et ambition pour Marseille
Le triptyque de Collart est clair : justice sociale, remise en ordre, et ambition pour Marseille. D’un côté, il souhaite rétablir la sécurité et remettre en ordre les services municipaux, gangrénés selon lui par l’inefficacité et l’inaction. De l’autre, il prône une vision ambitieuse pour Marseille, qui doit retrouver son dynamisme économique et culturel tout en se dotant d’une politique environnementale à la hauteur des défis contemporains. Collart, bien que d’origine belge, se considère comme pleinement marseillais. Il le rappelle à plusieurs reprises : “Je suis pour Marseille.” Son discours se veut celui d’un homme au-dessus des clivages politiques, capable de soigner les maux de la ville tout en transcendant les extrêmes qui, selon lui, rongent aujourd’hui la vie politique locale.
Des ambitions face à une concurrence féroce
Mais le défi est de taille. Si le projet “Marseille à Cœur” aspire à rassembler, il lui faudra non seulement convaincre les électeurs, mais aussi faire face à la concurrence des nombreuses autres initiatives qui émergent. La campagne pour les municipales de 2026 a déjà commencé, bien qu’aucun candidat officiel ne se soit encore déclaré. Chaque jour, de nouvelles voix se font entendre, chacune apportant son lot de critiques à l’égard de la gestion actuelle et de promesses pour un avenir meilleur. Pour “Marseille à Cœur”, la question reste donc ouverte : cette initiative saura-t-elle se distinguer dans cette effervescence politique, ou finira-t-elle par être diluée dans le flot des autres projets en lice ?
Jean-Philippe Vigneron
Fondateur du Club Marseille Vision, Responsable Délégué Renaissance du 6/8. En tant que fondateur du Club Marseille Vision, je m’engage à promouvoir la transparence, l’équité et le progrès dans notre ville. Je suis passionné par l’avenir de notre ville. Engagé dans la politique locale, notre Club Marseille Vision vise à stimuler des discussions constructives pour façonner un Marseille dynamique et inclusif. N’hésitez pas à partager et commenter, votre participation enrichit cette conversation vers un avenir politique positif que nous construisons ensemble.
Pour nous rejoindre, pour nous faire part de vos idées pour Marseille ou pour une suggestion d’article envoyez nous un mail: clubmarseillevision@gmail.com
Le texte fondateur de notre club sur calameo: https://www.calameo.com/read/00760658191e3e6835947
Commentaires
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oh ben ça alors Monsieur Vigneron, si Marseille va mal c’est uniquement à cause de son vilain maire Payan-très-très-méchant, s’il faut trouver une nouvelle union c’est pour contrer Payan-très-très-méchant.
Mais pas pour recaser ceux qui sont passés entre les gouttes du procès des fausses procurations. Pourtant quelle belle occasion pour le centre et la droite que de faire un peu d’épuration dans leurs rangs, à commencer par la cheffe naturelle. Mais bon, elle vous nourrit.
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Ruedelapaixmarcelpaul, Payan n’est que la suite logique d’une série de maires qui ont mis cette ville dans l’état où elle est dans un terreau culturel marseillais
fait de clientelismes, d’arrangement,de combines et de magouilles sociales ou économiques avec des ” corps intermédiaires ” tels que syndicats,associations, institutions largement actifs et contribuants à cette situation pour conserver les postes.Faut bien manger et l’épisode des procurations à droite et à gauche dont le procès est à venir en est malheureusement la plus déplorable illustration. Sans oublier bien sûr la voyoucratie locale violente et bien rémunératrice pour les commerçants de luxe locaux, vendeurs de montres suisses et de voitures allemandes.Alors on ferme les yeux.
Depuis toujours j’entends de la part de nos sociologues et experts locaux ce fameux discours sur ke potentiel marseillais, foutaises,baratin.Cette ville n’a aucun avenir.
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J’évite en général de répondre à vos billets d’aigreur car c’est inutile et ça remet une pièce dans le Juke box… Mais des fois ça me gratte…
1 – Tout à un avenir, il faut dire “cette ville n’aura jamais l’avenir que je souhaite”.
2- Depuis toujours vous vivez dans une ville que vous exercrez et qui, selon vous, ne changera jamais : consultez ! Le masochisme se soigne peut être ?
3- Mais si vous voulez rester et lutter, engagez vous, présentez vous… Qui ne fait rien consent, non ?
Ou bien tout ça n’est que de la diatribe gratuite, vous aimez gémir ?
Quand à l’article de M . Vigneron, je vois plutôt qu’il ne ferme pas la porte au médecin originaire de Belgique… On ne sait jamais …
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S’engager ,mais avec qui quand vous voyez les ” forces vives” de cette ville. Que voulez vous faire avec des nuls qui changent d’àne à chaque élection,peine perdue. Cette diatribe comme vous dites n’est pas gratuite, elle est au moins égale aux impôts que nous payons pour ceux qui en payent et qui partent en fumée, en inefficacité ,en gaspillage pour être gentil.
Tout à un avenir dites vous , oui vous avez raison ,même si il est sombre .
Cette ville est larguée sur tous les plans ,je ne vais pas rappeler la liste de ses déficiences,la lecture du Gabian est suffisante pour en avoir une bonne idée.
Enfin pas tour à fait l’OM est premier, l’essentiel est sauvé.
Vous voyez où nous en sommes rendus.
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J’ai oublié un point que vous évoquez sur l’excrabiliite de cette ville,si vous trouvez que la situation marseillaise s’est améliorée en termes d’économie, de pollution, de transports ,de saleté, de sécurité, d’habitation,de drogue,de qualité des services municipaux, de santé, de lieux sordides,de sans abris, de centre ville ,des ecoles,il faudra m’expliquer en quoi malgré de véritables armées mexicaines de fonctionnaires embauchées et des impôts qui ont explosent pour ce qui en payent .
Faire état de cette situation n’est pas du masochisme,c’est de la lucidité critique face à un nivellement par le bas.
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Alceste, déménagez, vous vous faites vieux, c’est mauvais pour votre tension d’être aigri à ce point
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Heureusement, Mme Vassal, qui nous avait promis en septembre 2018 – il y a exactement six ans – “des résultats d’ici 18 mois sur la propreté et les transports” (https://www.laprovence.com/article/papier/5139131/metropole-vassal-sengage.html), a contribué par ses hauts faits au resplendissement de Marseille.
D’ailleurs, la même, dans le même article, ne manquait pas de souligner ceci : “à force de ne pas tenir leurs engagements, les politiques se sont discrédités”. En effet.
Nous aurons certainement un jour un billet de blog de M. Vigneron sur le bilan de sa patronne, avec le recul et l’impartialité qui s’imposent.
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La photo de titre me semble bien être un pur produit de l’intelligence artificielle aussi vide de contenu réel que l’entassement des poncifs et truismes du “programme” tel que rapporté par l’article. Il se peut également que la pensée politique de Mr Collart ait pu ētre édulcorée par la restitution qu’en fait le Club Marseille Vigneron.
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Ruedelapaixmarcelpaul, je vous remercie de votre conseil que vous pouvez vous mettre où il vous reste de la place. Vous confondez le fait d’être aigri et la critique. C’est la même différence entre la bêtise et l’intelligence.
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Bien tenté Alceste d’essayer de me faire croire que je suis con mais j’ai le grand regret de vous annoncer, malgré vos efforts répétés, que vous avez échoué.
Pisser le vinaigre allègrement comme vous le faites ne s’appelle pas la critique. Allez vérifier la racine grecque de ce mot, faites un brin d’étymologie, puis revenez ici qu’on en reparle.
En revanche répandre votre acide correspond bien à la définition d’aigreur
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Différence entre acide, aigre et amer
Les adjectifs acide, aigre et amer sont tous les trois utilisés pour qualifier la saveur d’un aliment, mais acide signifie « qui a un
goût piquant », aigre a le sens de « qui a développé un goût acide par fermentation ou altération » et amer signifie « qui a un goût âpre, rude, souvent désagréable ».
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@ruedelapaixmarcelpaul :
“Se faire traiter de con par un imbécile est une volupté de fin gourmet.”
courteline
et il avait parfaitement raison !
que de temps un peu perdu quand même, à répondre ……pour rien !
(j’en sais quelquechose !)
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il y a un côté réjouissant.
d’abord le clin d’oeil, marseille au coeur ! le coeur, grande spécialité de collart.
ensuite son tryptique : justice sociale, sécurité, ambition….certes !! chouette programme.
j’attends avec impatience le prochain tribun qui souhaitera : discrimation et injustice, délinquance accrue et surtout : marseille, je m’en moque, je m’en fous, je m’en fiche….
ce qui finalement correspond bien au “nouveau programme” de l’alliance de la droite et du centre et du fn.
aux dernières élections, collart avait bien pourtant soutenu vassal ? non ? est-ce un aveu d’impuissance à son endroit.
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ruedelapaix , être un “con” comme vous dites nécessite un certain savoir faire, voire du génie.Mais vous en êtes dénué.Donc vous n’êtes pas con-cerné , tout au plus peut t’on vous ranger dans un bêtisier accompagné de Julijo. Le Français est issu du Latin entre autres , langue italique et non pas hellénique comme vous le présentez.Il faut réviser vos humanités . Pour acide la racine latine est “acidulus” , pour vinaigre “acetum” et “acerbus” pour aigre.
Ceci étant précisé, et cela n’est pas inutile , il faut aussi aussi rappeler que contrairement à acide et aigre qui sont cousins en Latin , amer lui est un peu différent car dérivant de “amarus” (amer). Légère subtilité à souligner car l’amertume n’est pas l’aigreur, important. . Les mots ont une vie et surtout un sens.
Voilà après ce petit exposé , en espérant que cela contribue à être moins bête ce soir qu’en se levant ce matin .”At spes non fracta”.
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Vos attaques ad hominem me gênent, cher Alceste. Je sens que votre ire s’enfle au risque d’éclater. Peut-être pourriez-vous changer de blaze? Le nouvel Alceste s’était montré un temps moins agité et pédant que feu Braillasse.
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Bonjour Marsactu. Les insultes et attaques personnelles entre contributeurs sont-elles tolérées dans vos pages ? Je suggère la suppression des commentaires qui montrent que leur auteur fond les plombs.
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ça ne me gène pas, sachant d’où ca vient. ces attaques auraient une forte tendance à me faire sourire, si elles n’étaient pas si rapprochées…
là j’avoue c’est lassant.
ce qui me gène le plus, c’est que nous étions tranquillement en train d’échanger sur la venue dans le paysage dejà brumeux, de collart….et alceste fait toujours déraper tout le monde !
ces commentaires outranciers acerbes, sans queue ni tête et parfaitement incongrus nous forcent parfois à réagir…alors que…bref ! et avec alceste, ça mousse, ça mousse…..
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Alceste vous pourrez tourner et retourner le latin comme bon vous l’entendez sur d’autres substantifs, il n’empêche que le mot « critique » que vous voulez bien employer à l’envi vient du grec – certes en passant par le latin, interpretatio romana oblige – donc de κριτικός, qui signifie « capable de discernement ». On en est loin.
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8eme mettez donc “leur auteur” au pluriel et incluez le repreneur de cette phrase édulcorée de Courteline ““Se faire traiter de con par un imbécile est une volupté de fin gourmet” qui suivant vos critères peut tout aussi bien les intégrer.
Vous pouvez y ajouter aussi notre urologue en herbe qui s’inquiète de ma vessie “Pisser le vinaigre allègrement comme vous le faites “.
Ne soyez donc pas sélectif, que diantre.
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comique !!! un tombereau d’insultes mal venues et idiotes autour d’un article de vigneron !!!!!!!
moi, ça me fait rire ! vigneron-salarie de vassal n’en demandait certainement pas tant !
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Comique,non.Car Vassal ne règle pas le salaire de ce monsieur,mais c’est bien vous avec vos impôts qui le faites . Et là, cela est franchement hilarant.
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ce qui est comique et franchement hilarant, c’est que vous vous croyez obligé d’avoir le dernier mot avec un argument pareil !!! : c’est pas vassal qui paye, et gnan gnan gnan !!
vous pensez sérieusement que vigneron-salariédevassal, était payé par vassal ? moi, jamais ! un fonctionnaire territorial est payé par l’institution !
on sait depuis longtemps, que pas un sou ne sort de la poche de vassal qui vit aux frais de la république depuis un grand moment. pas besoin de nous le rappeler…mais quand vous ne savez plus quoi dire, ça devient ridicule !
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Si c’était la seule, mais ils sont nombreux de LFI au RN
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Ruedelapaixmarcelpaul, je ne veux pas apparaître tatillon ,mais le criticus latin n’a pas tout à fait le même sens que l’origine grecque.
Cela ne va pas m’empêcher de dormir,mais quand même.
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Cher Ruedelapaixmarcelpaul, cher Julijo et chers autres qui rentrez ici, abandonnez tout espoir (d’avoir un jour le dernier mot).
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Ah ça !! Ça fait un moment que j’ai abandonné l’idée. Lol !
Maintenant ce qui m’amuse c’est les derniers retranchements…. Les glissades tout azimut et hors sujet sont plutôt rigolotes
Là on en est quand même au fric de vassal…. Et à une différence de compréhension entre grec et latin..
Au départ c’était Collart !!! Belle performance
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Il n’y a pas de différence de compréhension.
En grec Kritikos est correct ,pour avoir l’équivalent en la tin il faut utiliser Reprehende et non pas criticus.
Mais cela vous dépasse Julijo. Les études classiques avaient du bon quand même et dans le public en plus..
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ah ah ah ah ah ah ah ah ah ah hi hi hi ho ho ho ho
ah ah ah
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En tant que fondateur du Club Marseille, je tiens à réaffirmer notre engagement pour un Marseille tourné vers l’avenir, basé sur la transparence et l’équité. Les débats passionnés démontrent la nécessité d’une réflexion collective sur les défis et les opportunités de notre ville. C’est en élevant les idées que nous pourrons bâtir ensemble un avenir politique ambitieux et inclusif pour Marseille.
Pour rejoindre Marseille Vision ou partager vos idées, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : clubmarseillevision@gmail.com.
Le texte fondateur de notre club est disponible ici : https://www.calameo.com/read/00760658191e3e6835947.
Continuons à enrichir cette conversation ensemble !
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