Les “inégalités numériques” et les usages d’Internet
Nous proposons d'explorer deux grands questionnements inhérents à la sociologie du numérique, les inégalités numériques et les usages d'internet dans les mobilisations politiques. Il sera question dans un premier temps de présenter " le numérique", ce qu'il produit en société, notamment en termes d'inégalités d'accès, d'usages et d'appropriations. Il s'agira dans un second temps d'interroger les grands concepts de la sociologie politique au prisme des usages des réseaux sociaux numériques en se demandant : De quelle manière les notions d'engagement, de mobilisation, de démocratie sont bousculées par les influenceurs et les followers. Des révolutions aux tentatives de coup d'Etat, et si le pouvoir des réseaux sociaux numériques était de transformer les citoyens en internautes ? ou les internautes en citoyens ?
Commentaires
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Petite contribution à partir d’une récente expérience. Il s’agit de soulever le débat sur le vote électronique ou plus « souple » encore, le vote par internet, qui soulèvent souvent la question d’absence de débat, de la sécurité des données et des piratages éventuel.
Ma caisse de retraite m’a transmis un courrier m’invitant à voter pour ses représentants à son conseil d’administration. Les candidats présentent leurs programmes et objectifs. Peu de différence donc par rapport à une élection « traditionnelle ». On aurait pu, par exemple, avoir une annonce préalable de ces candidats pour recueillir les avis des adhérents et éventuellement amender leurs propositions. Il y a donc encore un effort à réaliser pour développer la participation citoyenne à ce genre de consultation.
Pour voter, 2 propositions : la carte réponse à retourner par courrier avec le choix du candidat et le vote par internet avec un identifiant et un mot de passe que l’on découvre en grattant une surface ombrée, attribués par la caisse et sans rapport avec l’identité du destinataire. Après connexion au site dédié au vote, l’identification se fait à partir des identifiant personnels et, 3ème sécurité, par la clé du n° de sécurité sociale. L’identifiant et le mot de passe fournis sont saisis à l’issue de ces 2 étapes et le choix exprimé est soumis à une dernière vérification du style « captcha » qui prouve que je ne suis pas un ordinateur.
Je me suis dit que c’était une bonne méthode pour démontrer que le vote par internet peut être sécurisé. Reste à organiser le débat préalable qui pourrait se faire sans forcément mobiliser les mêmes barrières.
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Jacques 89 , le tout éléctronique est la plus grande connerie que nous soyons en train de réaliser . Je passe le coût social où l’éléctronique et l’informatique sont des destructeurs massifs d’emplois , et que l’on ne vienne pas me dire le contraire.
Point deux , de la sécurité , sur de la sécurité elle même sécurisée , autrement dit pour voter il faut une étérnité pour des questions de sécurité sur lesquelles les hackers se régalent, donc à la sortie inneficacité totale .
Mais le pire n’est pas là , le pire réside dans les relations inhumaines que cela instaure. Plus de conctacts , niente, nada , nibe !
Alors les gens vont chez Meetic . Pôvre de nous .
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« …coût social où l’éléctronique et l’informatique sont des destructeurs massifs d’emplois »
Si les robots cotisaient à hauteur des emplois qu’ils suppriment on ne perdrait pas au change. C’est juste de la fiscalité. Le problème c’est la concurrence (libre et non faussée comme dit l’autre) mais l’idéal c’est quand même de faire travailler des machines à la place des hommes et pour leur bien. Un peu rétrograde votre concept Braillasse.
« ..les hackers se régalent, donc à la sortie inneficacité totale »
L’affaire des procurations a démontré qu’ils n’étaient pas dans le coup…les hackers.
«Plus de conctacts , niente, nada , nibe ! » On se demande bien ce que nous foutons ici cher Braillasse.
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Franchement, cela serait plus sympa avec deux anchois,trois olives et deux jaunes autour d’une table au Panier en train de refaire le Monde, même si quelques fois cela n’est pas efficace.
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Enfin un peu de rêve Braillasse ! Je désespérais de ne voir chez vous plus aucun soupçon d’espoir. L’Utopie, c’est ça qui fait progresser le monde !
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