À Marseille, l’inexorable hausse des hospitalisations psychiatriques sous contrainte
Tiraillés entre enjeux sécuritaires, thérapeutiques et droits des patients, les soins sans consentement reposent sur un équilibre délicat. Dans les services de psychiatrie marseillais, plusieurs soignants témoignent d'un raidissement de l'attitude de la préfecture.
Les couloirs de l'hôpital psychiatrique Édouard-Toulouse. (Photo : V.A.)
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Article tres intéressant. L’etat de la,psychiatrie est déjà délétère sans avoir besoin d’une instrumentalisation politique…
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Pour l’administration centrale, l’hospitalisation psychiatrique en SDRE n’est qu’une filière d’incarcération ( mais hors statistique pénitentiaire), l’aspect soins ne l’intéressant manifestement pas.
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