A Marseille, l’école privée se porte bien, merci

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le 4 Avr 2016
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Alors que les écoles publiques sont à la peine et manquent de moyen, les établissements confessionnels gagnent du terrain. Depuis l'arrivée de Jean-Claude Gaudin à la tête de la mairie en 1995, ils accueillent 23 % d'élèves en plus quand le public voyait ses effectifs ne croître que de 2%. Enquête en partenariat avec le mensuel le Ravi.

A Marseille, l’école privée se porte bien, merci
A Marseille, l’école privée se porte bien, merci

A Marseille, l’école privée se porte bien, merci

Mon école va craquer. La formule choisie par France Culture résume bien le ras-le-bol exprimé depuis novembre par une enseignante puis par des parents d’élèves ou des profs remontés contre des écoles publiques dégradées. Le fruit d’un sous-investissement chronique dans les écoles municipales par la mairie de Marseille. En arrière-plan, l’enseignement privé a prospéré dans la Ville dirigée par le très pieux Jean-Claude Gaudin depuis 1995, ultra-dominé par les écoles catholiques. Le maire, il est vrai, n’oublie jamais de saluer le rôle de l’enseignement privé dont lui, l’ancien prof d’histoire-géo de Saint-Joseph-les-Maristes, est issu. Au Sénat, il vante fréquemment le libre choix. Localement, il loue le rôle social des écoles privées, notamment dans les ...
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Commentaires

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  1. corsaire vert corsaire vert

    Que Gaudin favorise l’école privée cela nous le savions déjà et pour ce faire il laisse les établissements publics à la dérive .
    Les écoles privées sont majoritairement confessionnelles , des boites à fabriquer des intégristes de tous bords car aucun contrôle n’est fait pour vérifier la nature des enseignements parallèles aux programmes officiels .
    C’est un e attaque sans précédent contre la laïcité et les valeurs républicaines de la France .
    Evidemment on comprend les parents qui n’ont d’autre choix, surtout si l’école publique, qui est imposée par la carte scolaire , compromet l’avenir éducatif de l’enfant .
    Depuis la création de l’école républicaine et laïque par Jaurès , ces écoles appelées écoles libres ( sic ) n’ont cessé de les combattre pour imposer leur idéologie religieuse .
    Que l’état,donc nos impôts, subventionne le privé soit disant contôlé

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    • Trésorier Trésorier

      Corsairevert,

      au 20eme siècle, ce sont les laicards comme vous qui ont té les plus intégristes (Staline, Hitler, Polt pot, Mao, ….).
      Les écoles libres subventionnées sont sous contrat, donc surveillées par le rectorat.
      Les valeurs républicaines c’est notamment la liberté, et celle de choisir l’éducation de ses enfants. Ne vous en déplaise.
      L’idéologie laicarde me parait aussi dangereuse que l’intégrisme religieux.
      Les parents d’enfants dans l’école libre payent des impôts. Ils doivent en toute logique bénéficier des mêmes services que ceux dont les enfants sont dans l’école laïque.

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  2. corsaire vert corsaire vert

    je termine , fausse manoeuvre …
    …le privé soit disant contrôlé, revient à payer une part de notre impôt à des religions , comme cela se fait en Allemagne et d’autres pays , où la déclaration d’impôt comporte une case à cocher pour savoir à quelle religion sera attribuée certain pourcentage …( 8% en allemagne , combien en France ? )
    L’hypocrisie de l’école privée subventionnée est une violation par des voies détournées des lois Jules Ferry sur l’école laïque obligatoire et gratuite.
    Il est urgentde faire marche arrière en supprimant TOUTES les subventions au privé pour revaloriser l’éducation nationale .
    Vous verrez que les amateurs d’école privée se bousculeront moins au portilllon !
    A Marseille ce n’est pas ce vieux barbon de Gaudin qui s’achète un passeport à tous les râteliers religieux ( on ne sait jamais après la mort …), va réhabiliter l’enseignement public !
    Il n’est pas seul maître à bord pour faire couler le navire , que fait l’état ?
    où est l’état ?

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    • Ouganda Ouganda

      Bien d’accord avec Corsairevert !
      Je suis née à Marseille en 37, du temps où pour entrer en 6 ème, c’était l’institutrice qui désignait les élèves aptes à passer le concours d’entrée au lycée en fonction des résultats scolaires. L’école privée confessionnelle était alors réservée aux enfants qui avaient des difficultés dans le public ou à ceux dont les parents voulaient un enseignement religieux. Maintenant c’est l’inverse, ce sont les bons élèves qui vont dans le privé qui de ce fait sélectionne les meilleurs !
      Facile dans ces conditions d’avoir de bons résultats aux examens…
      Et c’est l’école publique qui doit garder jusqu’à 16 ans des élèves qui ont décroché depuis longtemps pour de multiples raisons et ne sont plus contrôlés, ni par leurs parents, ni par les enseignants… Supprimer toutes les subventions au privé non seulement ce ne sera pas possible mais de surcroît pas forcément efficace. Nous sommes en face d’une reprise en mains , souterraine, insidieuse, tenace, profonde etc. de la part de l’Eglise qui n’a jamais digéré qu’on lui ait enlevé le pouvoir qu’elle avait sur nos chères têtes blondes et brunes… Et qui se sert des parents, très soucieux de l’avenir de leurs enfants, pour reconquérir son pouvoir d’influence et saper, en creux, les fondements de la vraie laïcité!
      Christiane Brochier

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    • JL41 JL41

      « Nous sommes en face d’une reprise en mains, souterraine, insidieuse, tenace, profonde etc. de la part de l’Eglise qui n’a jamais digéré qu’on lui ait enlevé le pouvoir qu’elle avait sur nos chères têtes blondes et brunes… »
      Je pense que les enfants s’émancipent très vite, y compris par rapport à leurs parents lorsque c’est nécessaire. Vous en connaissez beaucoup qui, après une « bonne éducation » restent des benêts ?
      D’ailleurs à Lacordaire, un cas que je connais, les enfants ne sont pas obligés d’assister aux cours de religion ou de participer au voyage annuel à Lourdes où ils auront à pousser un paraplégique dans l’eau bénite pour qu’il guérisse. J’en connais qui sans partager de foi religieuse ont été du voyage. C’est entendu comme une façon de connaître et de servir son prochain. Ils sont aussi incités à donner des cours d’alphabétisation dans des familles où l’on ne parle ou n’écrit pas beaucoup en français. Je trouve que c’est plutôt bien.

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    • Trésorier Trésorier

      Corsairevert,

      au 20eme siècle, ce sont les laicards comme vous qui ont té les plus intégristes (Staline, Hitler, Polt pot, Mao, ….).
      Les écoles libres subventionnées sont sous contrat, donc surveillées par le rectorat.
      Les valeurs républicaines c’est notamment la liberté, et celle de choisir l’éducation de ses enfants. Ne vous en déplaise.
      L’idéologie laicarde me parait aussi dangereuse que l’intégrisme religieux.
      Les parents d’enfants dans l’école libre payent des impôts. Ils doivent en toute logique bénéficier des mêmes services que ceux dont les enfants sont dans l’école laïque.
      Pour votre information, les professeurs de l’enseignement libre passent le concours public comme les enseignants du public. Et on ne compte guère de curés, rabins ou imans parmi eux.
      La liberté de choix ne vous plait pas. On le comprend. Mais ce n’est pas en imposant aux parents de l’enseignement libre d’aller dans l’école laïque que celle-ci se portera mieux. Qu’elle résolve ses problèmes (absentéisme, grevite, laxisme, manque d’autorité, enseignement au rabais,….), au lieu de critiquer le voisin.

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    • Trésorier Trésorier

      Ouanda,

      l’école libre ne sélectionne pas toujours les meilleurs et les plus riches. Relisez l’article. Et les élus de gauche ne sont pas les derniers à y envoyer leurs enfants….

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  3. MarsKaa MarsKaa

    Merci pour cet article ici et dans le Ravi, à diffuser, largement, pour que la lutte pour les écoles publiques continue.
    Il y a là un bout de ficelle qui, quand on commence à le tirer, démêle toute une pelote …
    nos enfants en sont les otages et les victimes.
    et la société locale se divise, se fragmente…
    Nous sommes quelques uns, et fort heureusement, à resister et à nous battre pour le public, de l’intérieur, parents, et personnels de l’education nationale…. mais on s’épuise lorsque l’on n’a pas de relais.
    L’impression bien souvent du pot de terre contre le pot de fer.
    Mais le pot de fer se fissure aujourd’hui, le scandale sort au grand jour, grace à certains journalistes et à certains profs, parents, citoyens.
    Merci. et ne lâchons pas l’affaire, il faut dénouer et derouler toute la pelote…

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    • Trésorier Trésorier

      MarsKaa,

      la lutte pour l’école publique, c’est déjà de se remettre en cause et résoudre ses problèmes de fonctionnement et d’organisation au lieu de critiquer le voisin.

      C’est vrai que c’est plus difficile à faire.

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  4. reuze reuze

    Les déclarations de Jean-Marc Coppola et Stéphane Mari posent bien le problème: dans de nombreux quartiers, même dans les arrondissements centraux où l’urbanisme a très peu changé, le déficit en places dans le public est tel que de nombreux parents n’ont réellement pas d’autre choix que d’inscrire leurs enfants dans le privé.

    Ailleurs en France, les parents et les élus locaux font pression sur l’Education Nationale pour obtenir l’ouverture ou le maintien de classes.
    À Marseille, c’est la ville qui bloque, tous les ans, les ouvertures de classes autorisées par l’Education Nationale en ne mettant pas à disposition les locaux nécessaires…

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    • Trésorier Trésorier

      Reuze,

      en 1975, la ville comptait 915 000 habitants avec de nombreux enfants. On n’en compte aujourd’hui que 850 000 avec une part d’enfants plus faible. Dire qu’on manque d’école m’étonne, même si le nombre d’enfants par classe a du baisser.

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  5. julijo julijo

    Connu et archi connu, nous avons tous compris depuis longtemps que Gaudin et son équipe favorisent l'”école libre” !!
    J’adhère complètement aux arguments des intervenants ci dessus…
    C’est lamentable, consternant, on peut comprendre…mais on ne comprend plus parce que l’Etat n’intervient pas !! Il s’agit pourtant de la France de demain.
    Un aspect est peu abordé, et pourtant il est aussi important :
    Quelle est la réelle formation des enseignants et surtout des intervenants adultes dans ces établissements ????? Les enseignants, n’ont pas le statut des enseignants du public (effectivement il ne manquerait plus que ça !) et ils n’en ont pas non plus les compétences. les formations sont plus courtes, mains contrôlées. Pour ce qui concerne les “intervenants” …dans certains lycées privés, certaines activités, TP, révisions, soutiens et autres gadgets sont assurés par des adultes pleins de bonne volonté…parfois sans aucune formation ; dans les établissements primaires ou collèges, les pions se sont les personnels disponibles….bah après tout, pourquoi pas ?
    Sont récupérés dans le public, après s’être fait virés de certains établissements “libres” des élèves plus fragiles…et là ça vaut le coup ! le décalage de formation est énorme…les parents sont bien contents que leurs enfants trouvent à ce moment là le public ! c’est souvent trop tard…..
    Tout cette organisation parallèle de l’école est toujours au détriment des parents, des enfants…l’Ecole Privée Libre est avant tout chose un COMMERCE. Ce sont des entreprises qui paient mal leurs salariés, souvent gérées comme des usines de production…
    L’aspect religieux ne tient pas la route…pas longtemps, les enfants sont facilement dispensés de toute culture religieuse. Bon nombre de juifs sont inscrits chez les cathos, quelques musulmans y sont également et vive et versa……
    Et puis, les statistiques sont têtues, nationalement, les études longues se font dans des établissements publics.

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    • Trésorier Trésorier

      Julijo,

      il faut arrêter de raconter n’importe quoi, au risque de déconsidérer votre positon.

      Les enseignants de l’école libre passe le concours public et sont contrôles par le rectorat.
      Suite à la réforme catastrophique de Hollande sur le périscolaire, les communes ont du embaucher n’importe qui dans les écoles laïques (la réforme ne s’appliquant pas à l’école libre) pour des formations gommettes, peinture, sport ou lecture…
      Le niveau scolaire dispensé par l’école libre est largement supérieur à l’enseignement laïc et le premier doit souvent recevoir des enfans qui ont été abandonnés par le second. L’école libre est plus e mesure de s’adapter à tel ou tel problème ou enfant.
      L’école libre est légale et permet e libre choix des parents. Evidemment, vouloir supprimer une concurrence permettrait de cacher l’échec patent de l’école laïque actuellement, totalement à la dérive.
      L’école laïque est devenue un commerce au seul profit des professeurs (grèves, absentéisme, réunions, temps de travail faible, implication réduite,…), l’intérêt des enfants n’étant qu’un alibi aussitôt oublié. Comme dit un prof du public que je connais ‘”la seule raison d’être professeur, c’est les quatre mois de vacances”.
      Pour l’aspect religion, un autre laicard parlait d’école d’intégrisme tout à l’heure… Choisissez mieux vos arguments….

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  6. LaPlaine _ LaPlaine _

    Que fait l’état…? oui c’est la bonne question. Ici comme dans bien d’autres domaines, Marseille est un état dans l’état, personne ne vient y fourrer son nez ou alors en le pinçant très fort. Voilà pourquoi cette ville ne ressemble à aucune autre collectivité en France.

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  7. jacques jacques

    Pourquoi ne pas demander à la CADA d’ obliger le maire à fournir ces documents !?

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  8. hervechik hervechik

    Article très intéressant. Hasard des choses, le même jour je tombe sur cet instructif podcast documentaire d’Arte Radio:

    http://arteradio.com/serie/y_a_deux_ecoles
    (notamment partie 3 “Parents Rebeus, Parents Bobo”, après la 10e min)

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  9. JL41 JL41

    En 20 ans les effectifs du privé ont cru de 23 % et ceux du public de 2 %. Il en aurait sans doute été de même avec un autre maire que Gaudin. Le premier critère qui différencie les écoles privées et les écoles publiques, ce sont les enfants que chacune accueille. Le caractère confessionnel est assez secondaire. Il y a aussi des enfants de bonnes familles de gauche ou musulmanes à Lacordaire, où la réussite au bac est de 100 %. L’école privée est le choix de familles avisées, ce qu’on appelle l’élite, ou de celles qui y aspirent et accompagnent activement leurs enfants pour qu’ils réussissent. L’école privée accueille aussi des pauvres (un peu) qui ne peuvent pas payer, mais dont on est sûr que les enfants joueront le jeu de cette promotion par l’école. Elle accueille parfois aussi un trublion de bonne famille, dont on espère qu’à Lacordaire il entrera dans le moule. A la première frasque il sera exclu, ce que les parents et l’enfant savent.

    Si les effectifs de l’école publique ont stagné, c’est qu’il est avéré que ses résultats sont moins bons et que le système n’est pas adapté à la mise à niveau des enfants issus de milieux défavorisés. Les enfants qui vivent dans des familles cultivées, où ce n’est pas la télé qui sert de trait d’union muet, intègrent déjà à la maison les codes et les outils de langage qui leur permettront d’accéder aux meilleures situations. Et si l’on est un peu glandeur, il suffira de faire Sciences Po pour obtenir ensuite le stage qui servira de procédure d’admission à un poste intéressant. L’école, la fameuse école de Jules Ferry destinée à donner à chacun les mêmes chances, le fera-t-elle ? Ses résultats seront bons pour les enfants issus des milieux favorisés, tandis qu’elle se manquera le plus souvent pour les enfants qui ont besoin d’un meilleur accompagnement au départ. Mes enfants sont allés à l’école publique. L’un d’entre eux a été perdu parce que la maîtresse, responsable CGT, l’a constamment brimée. Plusieurs élèves étaient frappés à coup de poing avec bagues aux doigts dans les cheveux. L’enseignante a été licenciée deux ans plus tard, mais le préjudice n’a jamais pu être réparé. Je connais d’autres enfants qui sont allés dans le privé. Un sujet de maths non compris était réexpliqué à l’enfant en cours d’étude. Lorsque l’enfant n’était pas dans sa classe à 8 h, les parents étaient appelés par l’école à 8 h 10. Ces écoles sont toutes très dévouées aux enfants. Une sorte de morale peut-être d’origine religieuse, mais moins présente dans le public, où les enseignants trouvent le moyen d’être en congé de maladie 17 jours par an en moyenne. Evidemment, la tutelle ne les remplace pas toujours, si non, au lieu de 17 jours de congés de maladie, combien faudrait-il en compter ? L’école publique dira qu’elle manque de moyens. Je dirais plutôt que les moyens humains mis en œuvre et la capacité de la structure qui les gère laissent à désirer.

    Certains commentateurs ont jugé ici que les enseignants étaient moins diplômés dans le privé. J’ignore si c’est vrai, mais on sait aussi que faute de volontaires, les enseignants recrutés dans le public le sont parfois jusqu’à 7/20 de moyenne dans le concours.

    Inversement, je connais dans le public des écoles qui font un boulot formidable et des enseignants formidables eux aussi. Le collège de l’Estaque s’est intéressé à l’activité portuaire, tandis que des cadres du port sont allés à l’école ou ont fait venir les enfants au port pour montrer et expliquer ce qu’était un port et les emplois que l’on pouvait y trouver. Le prof de maths a aidé les enfants à modéliser sur leurs ordinateurs le fonctionnement du terminal à conteneurs. Prise par la passion des élèves, l’école a acheté une imprimante 3D et les enfants ont fabriqué conteneurs et portiques en modèle réduit. Ils savent que les conteneurs marqués CMA CGM sont ceux de l’entreprise dont on voit la tour tout en courbes et reflets non loin. Pourquoi cela a marché ? Parce qu’il y avait dans l’école des enseignants et au port des cadres qui sont partis au quart de tour. Ils ne se sont pas posé de question sur le temps consacré à leur engagement.

    Comme vous l’avez compris, je suis pour l’école publique, mais…
    En Suède n’importe qui (enfin presque) peut ouvrir une école. Les pédagogies mises en œuvre sont très diverses, les parents choisissent en fonction de leurs convictions. L’Etat impose seulement que toutes ces écoles conduisent les enfants à un certain niveau, sinon l’école est fermée. Alors l’école de Jules Ferry ou un certain pluralisme ?
    Dans ce pluralisme se place parfois une plus grande attention apportée à l’enfant (Freinet, Montessori, mais il y en a d’autres). Beaucoup d’expériences nouvelles sont menées en France, bizarrement, on en parle peu.

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    • Trésorier Trésorier

      JL 41, comme toujours, une intervention longue mais intéressante.

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