“À Marseille, la culture punk est liée à la représentation de la ville rebelle”
Ce samedi, la bibliothèque de l'Alcazar accueille une journée d'étude consacrée à la culture punk, dans le cadre d'un projet de recherche national. À cette occasion, Marine Schutz, historienne, décrypte avec Marsactu l'histoire marseillaise discrète, mais bien réelle, de ce mouvement aussi politique que musical.
Le groupe Nitrate sur les toits du Palais Longchamp en 1981 - Image PIND.
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Un des lieux punk des années 80 était le Grand Domaine aux boulevard des Dames, où l’on pouvait louer des locaux pour répéter à coté des ateliers de fabrication de textile… les punks et les redskins de la Plaine c’était la défonce, et surtout l’héroïne pas la musique…
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Pour avoir assisté à 2 heures de ces conférences : hétérogène, un poil agité dans les débats (comme il se devait), mais intéressant. Bonne idée de finir sur les acteurs actuels (même s’ils n’étaient pas tous venus) : organisateurs de concerts, labels de disque, salles de concert…
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