Série
L'Emprise
À la Paternelle, après le “pilonnage” du réseau, l’illusion d’une vie normale
Il y a deux mois, les pouvoirs publics "rendaient" la petite cité du 14e arrondissement de Marseille à ses habitants. À l'heure où le gouvernement vend son opération "place nette XXL", sur place, les habitants oscillent entre l'envie d'y croire et la peur de voir le vide laissé par les réseaux se remplir à nouveau.
Commentaires
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Je regrette la conclusion pessimiste, alors qu’il y a tant de points positifs dans l’article ! Il est évident que le risque est gros d’une réinstallation d’un réseau, mais on comprend justement dans l’article qu’il y a moyen d’agir, qu’il y a une diversité d’acteurs, des habitants aux pouvoirs publics, en passant par la police, qui peuvent faire en sorte que les choses évolue, qu’un quartier et ses habitants soient libérés. C’est ce que raconte l’ensemble de l’article.
Reportage au plus près des habitants concernés, qui permet de comprendre que les réseaux de la drogue ne naissent pas dans ces quartiers, mais s’y installent et s’y développent, prenant en otage les habitants de la cité.
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Habitants qui ne bénéficient pas du chiffre d’affaire généré (il faut vraiment marteler ce fait), mais qui subissent l’insécurité qui en découle.
(Si on pouvait modifier un message durant quelques minutes après l’avoir posté, ce serait bien !)
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Un bilan plutôt positif tout de même…
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il y a beaucoup de précarité dans cet embryon de sécurité. on pense tous : pourvu que ça dure.
et la conclusion est réaliste : un portail, ça s’ouvre !
m’interpelle une réflexion : “les enfants de 10, 11 ou 12 ans n’ont plus rien pour s’occuper. À part l’association de Fadela, il n’y a rien.”
voilà, il n’y a rien.
sans arrêter dans les cités les “descentes” et rouler les muscles avec place nette xxl, il faut recréer une vie sociale. des services publics, des magasins, des endroits de rencontre.
pas sûr que ce soit dans les prévisions.
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Agréablement surpris d’apprendre que ces opérations “place nette” ont un effet positif, même s’il n’était pas définitif. C’est déjà ça, et ça montre que ces lieux peuvent prendre d’autres visages que la violence qui y régnait.
Reste à transformer l’essai : chasser le deal dès qu’il pointe le bout de son nez, offrir des services sociaux, de l’animation …
En tous cas, un réconfort pour les habitants. Ils pourront garder cet évènement en mémoire comme une revendication si d’aventure ça repartait.
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Pourriez vous ecrire sur la mise en échec de l installation d un point de vente au terrain de boule de la mairie voisine
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