“À Arles” l’anti-guide touristique qui esquinte la vitrine culturelle
Orchestré par François Bégaudeau et le collectif Othon, le livre "À Arles" dresse le portrait sans concession d'une ville qui, en misant sur le tout culture, exile les travailleurs hors ses murs.
Imaginée par l'architecte Frank Gehry, la tour Luma, siège de la fondation Hofmann dont un des rédacteurs fait consciencieusement le tour. Photo : Coralie Bonnefoy.
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Le clown Begaudeau et sa bande de bourgeois donneurs de leçons qui croient comprendre une ville en y passant 4 jours…
Se connecter pour écrire un commentaire.
Sociologie 2.0 = sociologie à 2 balles.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Une expérience littéraire, un jeu entre copains, des gens de passage “à Arles” qui regardent, écoutent, décrivent, jugent… ok, sûrement une expérience intéressante à leur niveau, mais quel intérêt pour nous ? Pourquoi cet article Marsactu ? Parce que Begaudeau ?
Se connecter pour écrire un commentaire.
Bonjour, nous avons reçu ce livre à la rédaction et sa lecture a été un grand plaisir. Il est drôle, pertinent parfois agaçant. Il nous a semblé intéressant de partager cette expérience avec nos lecteurs.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Merci pour votre réponse Benoît.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Merci, c’est une super idée de nous avoir partagé la découverte de ce livre 🙂
Se connecter pour écrire un commentaire.
Loufoque. Bouvard et Pecuchet à Arles avec des bobos de Valenciennes ! À vélo pour écrire un livre de copains venus en vacances dans le Sud, écouter les braves gens pour les affranchir de leur asservissement au grand capital. Très années 70.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Les quelques erreurs d’écriture ne facilitent pas la lecture d’un article déjà un peu « perché ». Sans doute à l’image du sujet… c’est dommage!
Se connecter pour écrire un commentaire.
Bof. C’est pareil à Nantes, Rennes, Bordeaux ou Lisbonne ! Les pauvres sont relégués en banlieue. Leurs apparts défraîchis et croulants sont rénovés pour faire du Airbnb, que nous utilisons tous ! C’est un système et ce n’est pas propre à Arles. D’habitude vous êtes plus percutants Marsactu, je suis un peu déçue.
Se connecter pour écrire un commentaire.
plus percutants ? Marsactu propose un livre qu’ils ont trouvé intéressant. J’espère (au moins) que vous l’avez lu pour balancer une telle critique.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Un grand merci à Benoit Gilles pour cet article qui fait honneur à Marsactu malgré ce que semble exprimer les quatre premières réactions précédentes !
Et pour celles et ceux qui ne satisfont pas seulement des nombreux articles encensant la fondation Luma et sa tour (copies / colles des communiqués de presse et des propos de ses promoteurs) on peut, pour se faire une opinion, aller voir les trois liens suivants dont un sur Télérama, l’autre sur la Libre Belgique et un troisième sur le média culturel Artistik Rezo.
https://www.telerama.fr/debats-reportages/ouverture-de-la-tour-luma-a-arles-le-projet-flou-de-maja-hoffmann-6922346.php
https://www.lalibre.be/debats/opinions/2021/08/31/la-tour-luma-a-arles-nenlaidit-elle-pas-le-monde-XOA3K4C2MVBQTLIRMLN3OEBPRU/
https://www.artistikrezo.com/art/la-tour-luma-un-projet-controverse.html
Se connecter pour écrire un commentaire.
l’article sur le site artistikzero correspond bien avec ce livre du collectif othon.
en passant en arles, j’ai remarqué évidemment cette tour, sa présence est assez déconcertante dans le paysage urbain arlésien. je me suis bien promis d’aller y faire un tour.
mais il n’y a pas que cette tour, et arles est réellement et statistiquement parmi les communes les plus pauvres de france.
Se connecter pour écrire un commentaire.
J’ai beaucoup de mal à comprendre ces critiques répétées envers la tour Luma qui est assez loin d’être un échec architectural et artistique. Il y a une forme de défiance qui fleure bon le poujadisme.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Une sorte de déviance qui pue le fascisme, ouais!
Se connecter pour écrire un commentaire.
à Patafanari
14 janvier 2023 à 17h10
En fait le vrai fascisme consiste à énoncer de simples affirmations ou qualificatifs sans aucun argument ni démonstration. “Il duce a sempre ragione” !
Se connecter pour écrire un commentaire.
Mon commentaire était une réaction à l’article de Marsactu, pas au livre et à son contenu que je n’ai pas lu.
Il se trouve que la réponse de Benoît Gilles, auteur de l’article, me donne plus envie de lire ce livre que l’article…
Ce qui m’a agacé dans l’article c’est, non pas le sujet du livre -bien au contraire c’est ce qui m’a attiré à lire cet article- mais les auteurs du livre, leur présentation, leur façon de parler d’eux même, et de leur expérience littéraire, leur façon de procéder sur place, la place et le rôle qu’ils se donnent pour observer un territoire (et ses habitants) en souffrance.
Or l’article parle plus des auteurs (qui ne m’intéressent pas, voire qui m’insupportent, a priori) que du sujet du livre, qui lui est intéressant : comment cette ville a évolué avec l’emprise d’acteurs extérieurs et comment va-t-elle mal aujourd’hui.
Mais la démarche et la personnalité des auteurs, leur regard, tels que présentés dans l’article tout du moins, m’ont paru participer du même mouvement, celui d’acteurs extérieurs à la ville dArles qui en font leur terrain de jeu.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Avis personnel : rien de ce que je lis ici ne me donne envie d’acheter ce livre qui, si l’on se fie aux éloges qui en sont faits, semble superficiel et racoleur par rapport à ce qu’est vraiment cette ville en profondeur.
Se connecter pour écrire un commentaire.
Ils étaient en vacances dans le sud … tout est dit !
Se connecter pour écrire un commentaire.