La lutte contre les dépôts illégaux du BTP encore en chantier
Nouvel épisode de notre enquête sur les déchets du BTP dans le département. Maires, procureurs ou préfet, les pouvoirs publics se sont saisis de ce phénomène. Mais cette lutte bénéficie de peu de moyens face à l'ampleur des dépôts illégaux.
Un merlon non autorisé en bordure de l'A55, à Gignac-la-Nerthe.
Commentaires
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La carrière de granulats de Lafarge à Cassis (au quartier du Bregadan) doit être remplie de gravats comme stipulé par la législation. Le décor est conséquent depuis Marseille mais au moins le tarif de gravats est dérisoire : 10 eur la tonne. Pour info !
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Très intéressant.
S’il est bien de voir la justice et les mairies se mobiliser, je suis étonné de ne voir que le versant répressif mentionné… car au delà de la répression des producteurs de déchets comme ils sont nommés il aurait été intéressant de mettre en cause – tout du moins d’évoquer – la façon dont se font les attributions de marché dans la construction, et dont sont menés des politiques d’aménagement inconséquentes de ci de là.
Force est de constater que la métropole ne sera pas une institution qui s’attaquera à ce sujet vu la coquille vide qui a été pondue, en particulier sur les questions d’aménagement et d’urbanisme ($$)
Savez vous s’il y a moyen d’avoir un inventaire de ces lieux de dépôt dans le périmètre métropolitain, même partiel ?
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Bonjour, je travaille actuellement à un nouveau volet sur ces questions. A bientôt.
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