Les cahiers de doléances scolaires du collectif Castellane
Plus d'un mois après que les médias se sont emparés de la lettre d'une enseignante sur l'état de son établissement, le collectif des écoles de la Castellane organisait ce mercredi ses premiers états généraux de l'éducation. Après les promesses, enseignants et parents d'élèves réclament des actes.
Les cahiers de doléances scolaires du collectif Castellane
Plus de professeurs et des psychologues scolaires. C’est l’Etat et des impots en plus.
De nouvelles ecoles ? En 1975, on etait 75 000 habitants de plus, avec une plus grande part d’enfants. Ou sont passees les ecoles ? Des impots en plus.
La RTM gratuite ? Les ecoles ne sont elles pas sensees etre des services de proximite ? Des impots en plus.
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Ces parents d’eleves veulent un controle des depenses municipales en matiere d’education, de travaux dans les ecoles et pour les ecoles libres ?
Cela releve uniquement du conseil municipal et non d’un cenacle qui vote a l’unanimite. Tout ceci me semble etre un simulacre de democratie. Meme quand il s’agit de demander toujours plus de depenses publiques dans ce secteur.
Meme s’il s’agit d’enfants et donc d’avenir, les lignes budgetaires ne peuvent pas etre illimitees !!!
Par ailleurs, outre le conseil municipal qui est charge de controler et voter, les oppositions, tout citoyen et le Prefet peuvent contester les deliberations du conseil municipal au TA, voire, en cas de delit, au Procureur de la Republique.
Les ecoles libres sont legales et sous le controle de l’Etat.
Les parents d’eleves ont le droit de choisir l’education qu’ils entendent prodiguer a leurs enfants.
Ils payent des taxes et impots comme les autres. Les ecoles libres doivent donc, suivant les prescriptions legales, pouvoir etre aidees.
Enfin, demander une mise sous tutelle de l’Etat des services municipaux est un insulte envers la ville, surtout quand on critique aussi les services de l’Etat dans ce domaine.
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