Sur les traces de Fernand Pouillon
Marseillais et Aixois côtoient ses réalisations au quotidien. Pourtant, combien d'entre eux peuvent citer le nom de l'architecte Fernand Pouillon ? Alors qu'une exposition lui est consacrée à la Fondation Vasarely, ses défenseurs déplorent le peu d'attention porté à l'héritage de ce grand bâtisseur du XXe siècle.
La résidence Les Gazelles à Aix après rénovation (C.Sayen)
Commentaires
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Nul n’est prophète en son pays, et Pouillon est peut-être plus connu en Algérie qu’en France. Son oeuvre est pourtant marquée à la fois par une sobriété, une modernité et une élégance qui résistent bien au temps. On ne peut pas en dire autant de celle de certains de ses contemporains.
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Pour reconstruire vite et loger massivement après une guerre, c’est pas mal. Si l’on considère notre habitat indigne, n’est-on pas un peu, encore, comme dans une situation d’après guerre ?
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Pour ceux qui veulent découvrir en famille une partie de l’œuvre de Pouillon autour du Vieux-Port, vous pouvez télécharger le carnet de balade urbaine sur le thème de l’architecture du mouvement moderne :
http://carnets-balades-urbaines.fr/?p=1
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Pour ma part, je n’apprécie pas vraiment cette oeuvre : les bâtiments du Vieux Port m’ont toujours choqué, de part leurs formes carrées pas très gracieuses, l’utilisation de cette pierre ocre semblable à la pierre de Rognes très aixoise mais incongrue à Marseille, et surtout le fait d’avoir sans vergogne construit des appartements bourgeois sur les ruines d’une atrocité. Comme si on avait construit un mac do à la place des tours jumelles, ou si on projetait un club med à Palmyre.
Quand à la cité des Gazelles où j’ai vécu de petites années, c’était très “cages à poules” et seuls certains archis y trouvent de l’esthétique
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