Logement social : à Bouc-Bel-Air, la solitude du maire pavillonnaire
Avec 10 % de logements sociaux et un production insuffisante, la commune aisée de Bouc-Bel-Air est "carencée" par le préfet. Son maire Richard Mallié tentait ce jeudi de plaider sa cause au tribunal administratif. Celle d'un espace périurbain aisé, écartelé entre les contradictions.
Bouc-Bel-Air. Photo : Pommiebastards, via Flickr CC.
Commentaires
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s’il voulait et acceptait de batir du logement social, en locatif ou en accession, il pourrait largement, suffit de modifier le PLU et de donner des droits à batir plus conséquents en secteur urbain, plutôt que de demander d’étaler encore la Ville ! marre de ces maires
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Ne nous voilons pas la face : ces communes, essentiellement pavillonnaire, ne veulent surtout pas de logements type HLM pourvoyeuses d’habitants pauvres. Pauvres = délinquance, trafics divers et ambiance anxiogène. Les habitants sont d’accord pour que leur commune paye des sanctions, les maires concernés en font même un argument électoral!
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et les habitants de cette commune peuvent venir rapidement dans les cités es quartiers nord acheter leur drogue sans souci.
moins de délinquance et moins de trafics pour le maire pavillonnaire…..
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Quelle mauvaise foi dans lzs arguments du maire…
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