Avant la réouverture, l’angoisse partagée des patrons et employés de la restauration
La réouverture des bars et restaurants se fait attendre. Prévue le 2 juin, elle inquiète les restaurateurs et leurs employés. Les pertes liées au confinement et l'incertitude sur le protocole sanitaire à suivre pèsent lourd. Les salariés les plus précaires sont les premiers à en pâtir.
Avant la réouverture, l’angoisse partagée des patrons et employés de la restauration
Évoquer le Cours Julien et présenter une photo de la Place Notre Dame du Mont …
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Exact mais ce n’est quand même qu’à quelques dizaines de mètres…En cette période particulière on leur pardonnera de ne pas s’être déplacés juste pour aller prendre une photo du Cours Ju…
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Input Output C’est vrai que faire 50 mètres à pied c’est prendre des risques énormes 😉
Il suffisait simplement par exemple de le préciser sur la légende de la photo puisqu’après tout les problématiques sont similaires. Un peu de rigueur pour la crédibilité journalistique. Un point c’est tout
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Une des questions sur la réouverture est aussi celle des restaurants sous forme de buffets. Qu’en sera-il pour tous les hôtels qui servent le petit-déjeuner de cette façon et les restaurants-buffets comme par exemple les Buffets du Vieux-Port, O buffet à la Pointe-Rouge, sans compter les innombrables buffets à volonté asiatiques ? Au pays des lois, va t-on avoir le droit à une description précise de la façon dont nous devrons faire la queue pour aller remplir nos assiettes pour éviter la “promiscuité sociale” ?
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Parlons chiffres sous lesquels il y a des femmes des hommes;
”Celles et ceux qui travaillent au noir, sans contrat. Selon un rapport de février 2019 du conseil d’orientation pour l’emploi, en France, 20% des 2,5 millions travailleurs dissimulés, seraient employés en hôtellerie restauration. Bernard Marty, en convient, leur existence est bien connue, mais il est impossible d’évaluer leur nombre à l’échelle de la région.”
Comment dans la 6 ème puissance du monde (Comme le dit Vincent Lindon qui avait soutenu Beyrou en 2017) peut on laisser filer ce chiffre de personnes ”utilisées” dans la restauration, hôtellerie?
Si l’on prend un patron de café ou de restauration combien gagne-t-il en ”utilisant” des jeunes en fonction de ses besoins?
Ne serait-il pas temps de donner un véritable statut des ”utilisé-e-s” dans ce pays où il y a autant d’habitants que de touristes plutôt que d’être à la merci du bon vouloir d’un patron?
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MEMIN , votre remarque ou plutôt votre commentaire est d’une lucidité remarquable. L’angoisse des patrons de la restauration . Pas très angoissés pour faire travailler au noir les gens , pas très angoissés pour ne pas payer les heures, pas très angoissés de faire du black , pas très angoissés pour se faire nationaliser les salaires, pas très angoissés de faire des contrats en bois dans les chaines de restauration. Ils ont déjà fait le coup avec la TVA , “bis repetita placent” avec le COVID.
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Pour beaucoup de “restaurateurs” (merci Picard) et de “boutiques” de fringues (merci l’ Asie) le bon plan c’est de gagner en une saison ce que d’autres peinent à gagner en une année !
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