À Marseille, Manuel Valls prend un coup de kalach dans sa communication
Commentaires
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il aurait mieux fait de rester à paris
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Benoît, tu nous as habitué à beaucoup ,beaucoup mieux
A te lire il semblerait que les accueils à la kalach, sont, ce qui se fait de plus normal à Marseille, en quelque sorte du folklore. Fifres et tambourins et kalachnikov.
Et Charlie ? il est passé ou?
Z’avez pas vu Charlie?
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Plusieurs commentaires :
– M. Valls ayant bien trafiqué les chiffres, voulait venir parader à Marseille. Les chiffres lui ont sauté à la gueule, comme les rafales de AK47;
– on peut dépenser autant d’argent qu’on veut en réhabilitation, en destruction-reconstruction, quand on entasse des milliers de personnes pauvres, sans emplois, immigrées dans un même lieu, il ne faut s’étonner qu’un contexte de trafics divers se développent, avec la complicité plus ou moins grande de tout ou partie de cette population. Il faut bien vivre. C’est alors étonnant qu’une premier ministre ayant parlé à juste titre d'”apartheid” (sic) réforme une métropole pas encore née pour redonner l’urbanisme à la compétence des maires, qui ont justement permis et développé cet apartheid : les pauvres et les immigrés à Marseille, les riches et les entreprises chez nous ;
– encore une fois, des discours larmoyants et des actions complètement inverse.
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Mr Valls n’a pas de chance, après la coupure d’électricité, voilà des tirs, décidément, il faut qu’il change de stratégie….
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Bon, et bien pour une fois, les adeptes de la kalachnikov n’ont pas fait de victime (hors la langue de bois) et ont même généré un effet collatéral, et strictement involontaire, positif. Contraint de jeter à la corbeille les discours préparés par ses communicants, et de contenir ses réflexes pavloviens de coups de mentons, sa communication “brouillée” et embrouillée, voila-t-il pas que Valls s’est obligé à réfléchir et, miracle, y est arrivé; ce qui donne les déclarations suivantes; cramponnez vous : “Dans quelle ville on aurait pu accepter une telle situation dans les cités”; mieux encore : “ça remonte à très très loin, je n’accuse pas JC Gaudin en particulier…”. Là, bingo, j’y ai cru, ma parole il va nous parler du deffèrrisme, des responsabilités communes du P””S”” marseillais et de la droite locale… Mais non dommage, il s’arrête au milieu; ça sera peut être pour la prochaine fois, à son retour annoncé pour la mi avril, ne désespérons pas… D’autant que la mise en bouche continue :” La tâche est immense à accomplir. Ce sera long, il faudra une génération pour en sortir”. Du jamais vu quoi; Valls venant à marseille, et voyant plus loin que le bout de son nez et que la première séance du futur conseil de métropole, parlant de génération (bon, une seule?), acceptant de jeter un coup d’oeil dans le rétro, s’apercevant que cette ville a une histoire quelque peu particulière, très spécifique, chargée, lourde, bref qu’on n’est pas rendus… Peut être dans la foulée, va-t-il nous sortir la prochaine fois, qu’à situation si spécifique, voire exceptionnelle, il faut des mesures exceptionnelles, un approche spécifiques et non pas un discours “généraliste” sur la métropolisation que c’est comme ça point et qu’en plus c’est l’avenir… Non mais là je m’emballe un peu, il faut pas trop rêver… Dommage quand même qu’il n’ait pas emmené la Débranchu, l’effet aurai pu être contagieux, ne serait ce qu’un instant, pour un instant seul’ment. En tous cas, à la place des Christiani, Gaby Charroux et autres Joissains… je lui ferai subito un joli courrier, avant qu’il se ressaisisse dans ses travers ou que ses communicants ne reprennent la main; un courrier lui rappelant ses propos, lui indiquant quels échos ils avaient suscités chez eux, lui rappelant que la mariée vraiment n’est pas très belle, et pour tout dire, dans un sale état, lui rappelant que les mariages forcés ne sont plus d’époque et n’aboutissent le plus souvent qu’à des déchirements, lui vantant les mérites de “l’union libre” et les mérites comparés d’une métropole de projet, en tous cas pour commencer. Sait-on jamais !
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