"Dans la rade de Marseille, il reste plus de 300 épaves à exploiter"

À la une
le 14 Août 2013
3
"Dans la rade de Marseille, il reste plus de 300 épaves à exploiter"
"Dans la rade de Marseille, il reste plus de 300 épaves à exploiter"

"Dans la rade de Marseille, il reste plus de 300 épaves à exploiter"

Plusieurs centaines d'objets reposaient au fond de l'anse du Pharo depuis près de 2400 ans. Des céramiques, aussi bien grecques que campanéennes (de Naples) enfouies dans la vase. Et si pour le président fondateur du Grasm (groupe de recherche archéologique sous-marine), il ne s'agit pas d'un trésor au sens propre du terme, il pourrait en […]
Vous voulez lire la suite ?
Abonnez-vous à Marsactu

Commentaires

L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.

  1. mickaelAnonyme mickaelAnonyme

    pourquoi ne pas utiliser les plongeurs loisirs pour vous aider dans vos recherches plutot que de parler de façon péjorative de plondeurs qui sont tout aussi passionés que vous ne pouvez l’être.

    Signaler
  2. mickaelAnonyme mickaelAnonyme

    pourquoi ne pas utiliser les plongeurs loisirs pour vous aider dans vos recherches plutot que de parler de façon péjorative de plondeurs qui sont tout aussi passionés que vous ne pouvez l’être.

    Signaler
  3. SophieCamardEELV SophieCamardEELV

    Pour le musée d’archéologie sous-marine, je pense au Fort Saint-Nicolas (ou fort d’Entrecasteaux). Il a été laissé par l’Armée à la Ville qui ne sait pas trop quoi en faire. Il est actuellement restauré par des chantiers d’insertion d’ActaVista qui font du beau travail même si ça prendra du temps de réhabiliter toute la surface. Il y a en tout cas beaucoup de place disponible. Ce serait une belle idée de ramener ce qui se trouve au fond du port (ou de la rade)en surplomb de l’anse du Pharo, en face du Mucem, pour boucler une ceinture muséale autour du Vieux Port 🙂 Evidemment, il faut trouver les financements mais quand on a l’idée déjà, on peut avancer.
    Sinon, je ne trouve pas que M. Ximenes parle de manière péjorative des plongeurs loisirs (j’en suis). Au contraire, beaucoup de plongeurs bénévoles participent au GRASM. Il rappelle juste qu’il faut faire attention à ce qu’on ramasse, ce qui me paraît bien normal.

    Signaler

Vous avez un compte ?

Mot de passe oublié ?


Ajouter un compte Facebook ?


Nouveau sur Marsactu ?

S'inscrire