Drame de la rue d’Aubagne : comment la justice a avancé en six mois
Ouverte le jour même du drame, l'enquête qui doit déterminer les raisons des effondrements de la rue d'Aubagne poursuit son chemin. Un travail de plusieurs mois dont Marsactu a pu consulter les premiers éléments.
Le 65, rue d'Aubagne, la veille de son effondrement. (Image : DR)
Commentaires
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Félicitations pour cet article détaillé et exhaustif !
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Trés interessant ; Mais on aimerait aussi savoir où en est l’enquête sur l’auteur du tir qui blessa grièvement à la face Mme REDOUANE alors q=que cette octogénaire fermait les volets de son appartement
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Je retiens que le collaborateur d’un élu, par ailleurs propriétaire de l’un des appartements de l’immeuble effondré, mal entretenu, mal géré, était présent à l’une des réunions d’avant le 5 novembre. L’inertie et la lenteur, l’absence de réactivités des services municipaux n’auraient-elles par leurs sources dans ces proximités douteuses. Questions: cet élu percevait des loyers pour un immeuble n train de s’effondrer ! C’est indigne.
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Ce qui est quand même surprenant c’est que notre amie Arlette inspecte sa ville via Google Map pour en mesurer l état et j’exagère à peine
Povre de nous
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Elle a du prendre la version basse Def de Google earth
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A Paris, il existe un corps de fonctionnaires municipaux unique en son genre, celui des architectes-voyers, chargés notamment du contrôle des permis de construire, de la salubrité des habitations, de la politique de ravalement, de la conception de l’urbanisme…
C’est peut-être ce qui manque à Marseille. Moins de “conseillers” de complaisance désignés par copinage dans le cabinet du maire, et plus de techniciens de haut niveau recrutés sur concours, et la Ville sera mieux tenue.
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Sans doute , mais quel intérêt d’être élu à Marseille alors si l’on ne peut plus copiner ?
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