[Document] Dès 2016, une étude comptait 1100 logements très dégradés à la Belle-de-Mai
Une étude basée sur des données constatées en 2016 décompte plus de 1158 logements très dégradés "avec risque de péril" à la Belle-de-Mai et formule des recommandations pour y remédier. L'étude prévoit également la disparition de 1000 logements sur dix ans.
[Document] Dès 2016, une étude comptait 1100 logements très dégradés à la Belle-de-Mai
Commentaires
L’abonnement au journal vous permet de rejoindre la communauté Marsactu : créez votre blog, commentez, échanger avec les autres lecteurs. Découvrez nos offres ou connectez-vous si vous êtes déjà abonné.
Vous avez un compte ?
Mot de passe oublié ?Ajouter un compte Facebook ?
Nouveau sur Marsactu ?
S'inscrire
Bon, si on se réfère aux catégories cadastrales 6 7 et 8, c’est la moitié des logements des Bdr qui présente des défauts…. Plus qu’inquietqnt
Se connecter pour écrire un commentaire.
Bravo MARSACTU et le RAVI!
Si la ville était passée à l’opérationnel des 2017 il n’y aurait pas eu besoin de déloger en urgence des dizaines de familles de la Belle de Mai!
Tout de même quel cynisme : vouloir supprimer près de 1 000 logements sans proposer de solution aux ménages c’est un peu fort. Direction Quartiers Nord?
Une solution c’est de réserver dans le PLUi une servitude de 50 % de logements sociaux dans les 7 hectares des casernes. Et de le préciser clairement dans le projet de Programme Local de l’Habitat .
Sinon c’est le renforcement des ségrégations socio spatiales .
Voir notre avis ici:
https://m.facebook.com/notes/centre-ville-pour-tous/avis-de-cvpt-sur-le-plh-programme-local-de-lhabitat/267051267532549/?ref=page_internal&__tn__=H-R
Se connecter pour écrire un commentaire.
Je résume : de 1995 à 2016, tout va bien, il n’y a aucun problème d’habitat indigne, voire dangereux, à Marseille. Et la nullicipalité ne fait rien : logique, puisqu’il n’y a pas de problème. En 2016 et en 2017, des études montrent qu’à Noailles et à la Belle-de-Mai, il y a des problèmes. Ceux-ci ont dû apparaître en quelques semaines, indubitablement.
Depuis ces études, on n’a pas fait grand chose. Une OPAH qui “devait” durer de 2019 à 2023 n’a pas été lancée : on s’est avisé qu’il fallait une étude “plus fine”. Et s’il ne se passe toujours rien, c’est vraiment pas de chance, c’est à cause “des délais incompressibles de la commande publique”. Bref, c’est la faute des autres.
On va supprimer des logements “pour améliorer les conditions d’habitat”, certes. Mais, si une étude envisage la création de logements sur le site des anciennes casernes, “nous n’en sommes pas là”. Rien ne presse, c’est sûr. Chi va piano va sano.
Je me trompe, ou l’objectif de la nullicipalité est de refiler la patate chaude à celui qui s’installera à la mairie en 2020 ?
Se connecter pour écrire un commentaire.
Merci Marsactu et le Ravi en effet et encore une fois.
Les deux commentaires précédents sont justes.
Merci pour le débat sur La plaine de ce soir, pas évident, mais c’était intéressant.
Je ne sais pas ce qu’il en a été de la concertation pour La Plaine mais apparemment, cela n’a pas été à la hauteur.
Pour ce qui est de Quartiers Libres, ce n’est pour l’instant pas une concertation.
Force est de constater que c’est aussi ce décalage entre prétendu appel à la participation des habitants/citoyens qui crée des tensions (voir cet article d’une approche de la notion de maitrise d’usage : http://www.journaldumauss.net/?Vers-une-nouvelle-pratique-de-l).
Les différences entre l’annoncé et le réel pour la concertation Quartiers Libres :
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1yVTwTCFhY8Rl5xuUzFsCXlb0boldchnaxUnOX8_vQoM/edit?usp=sharing
Se connecter pour écrire un commentaire.