Nicolas Sarkozy tente de ranimer la flamme à l'école des pompiers d'Aix-en-Provence

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le 17 Mar 2011
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Nicolas Sarkozy tente de ranimer la flamme à l'école des pompiers d'Aix-en-Provence
Nicolas Sarkozy tente de ranimer la flamme à l'école des pompiers d'Aix-en-Provence

Nicolas Sarkozy tente de ranimer la flamme à l'école des pompiers d'Aix-en-Provence

Les mauvaises langues auraient pu y voir un de ces déplacements opportunistes pour donner un coup de pouce à quelques jours des élections cantonales, comme il l’avait fait lors des régionales 2010 en venant sur le site d’Eurocopter. Surtout que l’Ecole nationale supérieure des officiers sapeurs pompiers (ENSOSP) d’Aix-en-Provence, que Nicolas Sarkozy venait inaugurer ce jeudi, est ouverte depuis février 2010. Sans compter le « plateau technique » de Vitrolles – sorte de terrain d’entraînement grandeur nature avec maisons en flammes, accidents de la route etc. – qui est opérationnel depuis 2008. Surtout, des cantonales il n’a pas été question, le choix de l’ENSOSP semblant plutôt motivé par la possibilité de ...
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Commentaires

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  1. eho eho

    une centaine de pompier… Vous y étiez ??
    Je n’ai pas personnellement participer à cette cérémonie,
    mais j’y étais.

    il faut plutôt tabler sur 500 + les élus

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  2. mortimer17 mortimer17

    Et oui ” eho ” faut bien lire avant de venir critiquer !!

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  3. Saint Juste Saint Juste

    La France est en train de gaspiller joyeusement la double occasion qui se présente à elle, avec la campagne présidentielle et la pire crise économique depuis un demi-siècle, pour engager un débat sérieux sur la réforme de son modèle économique. Un peu plus d’un mois avant le vote, les deux principaux candidats semblent engagés dans une course au populisme le plus abject possible. La mauvaise surprise pour celui qui sera élu président, c’est qu’il sera confronté à une forte attente des électeurs bercés par ses promesses. Notre pays a longtemps joui de la même cote de crédit que l’Allemagne, même si ses finances sont dans la même catégorie que celle du Portugal. Il reste peu de temps aux deux candidats pour refroidir leur populisme et exposer sérieusement comment ils vont adopter des politiques visant à rétablir la compétitivité de l’économie française tout en gardant la porte ouverte sur le monde.

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