Cocaïne : les consommateurs de rue, nouvel épouvantail du débat public
Avec l'abandon d'un projet de halte soins addictions, la prise en charge sanitaire des toxicomanes recule au profit du seul volet répressif. Le consommateur de crack est devenu le nouveau repoussoir autour duquel gauche et droite s'écharpent.
Sous le pont de l'escalier Saint-Charles, une des scènes de consommation du centre-ville. (Photo : B.G.)
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Drogue – Prostitution – coup de couteau
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N’importe quoi
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« Au Chapitre comme à Belsunce, des collectifs d’habitants défendent une telle implantation. » : c’est un peu vite dit, non ? Car jusqu’à présent, on a surtout entendu les collectifs d’habitants qui la honnissent… cÇa vaudrait le coup d’insérer les témoignages de ces habitants favorables.
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Il y a les 2
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Mais qu’attendons nous à voir, à vivre dans la rue ? La rue c’est où ?
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?
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Ce n’est peut-être pas un bon exemple, mais bon je le dis quand même : une amie vietnamienne de passage à Marseille m’expliquait récemment comment le sujet de la drogue est traité dans son pays : c’est assez radical, le Viet nam est l’un des pays le plus sévère sur ce point, la consommation est interdite et fait l’objet de mesures strictes. Cette même personne est étonnée de voir la France submergée par le narcotrafic et les conséquences sociales, politiques, . économiques qui vont avec, sans parler de l’insécurité réelle et/ou ressentie dans certains quartiers. Depuis des années on répéte, on répéte les mêmes choses, les mêmes constats et le phénomène drogue empire … on ne résoud pas un problème en s’appuyant sur les méthodes qui font la preuve de leur inefficacité … 10 ans que cet homme se drogue ! Donc échec pour lui mais aussi pour tous ceux qui ont pensé/prétendu lui venir en aide. Faudrait en tirer les conséquences, sinon … J’habite au centre ville ( de l’autre côté de la Canebière, Réformé, La Plaine) le quartier est pour l’instant moins ” chaud” mais on voit bien que cela peut basculer si des décisions ne sont pas prises. Et la bienveillance, l’angelisme ( nécessaires mais pas plus …) ne suffisent plus. Sinon les réveils risquent difficiles.
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Le tabac est une drogue très addictive, légale, certes. Croyez-vous que rafler des fumeurs et les forcer à suivre un traitement de désintox serait efficace ? Idem pour l’alcool. Non, rien ne peut se faire si la personne n’est pas volontaire et stabilisée psychiquement. Sinon, c’est rechute sur rechute avec, en prime, la perte d’estime de soi, qui renforce l’envie de fumer ou boire. Seuls la prévention, des HSA et des soins appropriés peuvent fonctionner. En plus d’une volonté politique dans la poursuite des réseaux.
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Médiation, prise en charge, soin. Un préfet qui refuse la solidarité sanitaire la plus basique à ses concitoyens est pour moi une ordure, et l’état qui l’envoie un cloaque mortifère. Les mort.e.s en sursis qu’ont voit errer entre les Carmes et la gare ont besoin de tout sauf d’un coup de matraque, n’importe quel être humain sensé qui leur parle et les voit se dégrader de jour en jour peut le comprendre. Une société qui punit la misère ne peut que reproduire le malheur.
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