Quel amour ! Pour 2018, la culture scelle son union avec les patrons
L'association Marseille Provence culture présente les grandes lignes de MP 2018 autour du thème "Quel Amour !" Les 15 acteurs culturels promettent une saison culturelle inédite de février à septembre, pour seulement 6 millions de budget. Ce rejeton lointain de la capitale européenne de la culture est le fils légitime de l'union de la culture et du monde économique.
Le Vieux-Port, le soir du lancement de la capitale européenne de la culture. Photo : Esther Griffe
Un petit PEU plus longtemps ? Très intéressant, merci
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Dommage que vous n’ayez pas rappelé le long passé commun de Carenzo avec Tapie. Vue sous cet éclairage l’affaire ressemble vraiment à ce qu’elle est : mi-com(munication) mi-com(merce). Quant à l’art c’est une autre affaire !
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“l’association MP 2013 a laissé un bas de laine de 750 000 euros et ce premier pécule doit venir abonder le budget de MP 2018.” cet élément m’interpelle en termes de finances publiques par ce qu’on appelle le principe d’annualité. Une collectivité peut prévoir des financements sur plusieurs années, toutefois une fois l’action terminée on fait les comptes et on solde l’action. Si la structure n’est pas en capacité de justifier les dépenses, l’argent est rendu à la collectivité via un titre de recette.
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Oui, je crois que nous sommes assez nombreux à être interpelés par ce genre de méthode concernant l’argent public, et il semble bien que le principe d’annualité, comme bien d’autres, soit sujet à interprétation… (peut être aurons nous droit à une explication, on peut rêver…)
Personnellement, je suis également interpelé pour un autre motif : Bien des acteurs culturels associatifs ont succombé du fait des baisses de budgets culturels consécutifs aux folies de la kapitale , et auraient pu (du?) pouvoir bénéficier, en toute priorité, des retombées de ce “bas de laine”que nous découvrons, pour la continuité de leurs actions aujourd’hui disparues. Mais il est vrai qu’ils ne faisaient pas parti des 15 GROS qui remontent au front, et que les publics concernés et bénéficiaires n’étaient pas touristiques ou croisièrisques.
En matière culturelle plus qu’ailleurs, ce vérifient les deux dictons bien connus : small is beautiful; et il pleut toujours où c’est mouillé…
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